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Rapport de l'atelier de renforcement de capacité des acteurs appuyant les sociétés coopératives des région de Niamey et Tillabery sur l'acte uniforme relatif au droit des sociétés coopérative de l'OHADA ET les statuts des sociétés coopératives
L'atelier des acteurs appuyant les sociétés coopératives des régions de Niamey et de Tillabéry sur l'Acte Uniforme relatif au droit des sociétés coopératives de I'OHADA et les statuts types des sociétés coopératives, s'est tenu du 24 au 25 Août 2016 dans la salle de réunion du Stade Général SEYNI KOUNTCHE, sous la présidence de
Monsieur DJADt AMINOU,ConseilIer Technique du Ministre d'Etat, Ministre de l'Agriculture et de l'Elevage (voir liste des :participants en annexe 1).
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Rapport de l'atelier renforcement des capacité des acteurs appuyant les sociétés coopératives de la région de Tillabery sur l'acte uniforme relatif au droit de sociétés coopératives de l'OHADA et les statuts types des sociétés coopératives Tillabery du 18 au 19 Août 2016
Du 18 au 19 août 2016, s'est tenu dans la dans la salle de réunion de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Tillabéry, l'atelier de renforcement des capacités des acteurs appuyant les sociétés coopératives de la région de Tillabéry sur l'Acte Uniforme relatif au Droit des sociétés coopératives de OHADA et les statuts types des sociétés coopératives. Cet atelier a été présidé par Monsieur Djadi Aminou, Conseiller Technique du Ministre d'Etat, Ministre de l'Agriculture et de l'Elevage. -
Rapport Plan Stratégique (2016 -2025) FUGPN-Mooriben
La Fédération des Unions des Groupements Paysans du Niger (FUGPN-Mooriben) compte parmi les toutes premières organisations paysannes constituées librement, par les paysans eux-mêmes, en dehors du système coopératif contrôlé par l’Etat qui avait marqué l’organisation économique et sociale du Niger pendant les années 1970-80. Le nom « Mooriben » a été choisi par les fondateurs de la Fédération pour exprimer, en un seul mot, leurs attentes vis-à-vis de cette structure. Mooriben, en Djerma-Sonraï, signifie « la misère est finie ». C’est donc dans l’optique de la lutte contre la pauvreté, l’ignorance et leurs conséquences que la fédération a été fondée. -
Auto évaluation / capitalisation mouvement paysan nigérien : 2013-2016
Cette autoévaluation réalisée du 07 avril au 06 mai 2016, releva la diversité des organisations paysannes qui, de par leur couverture territoriale et leur ancrage local, étaient devenues chacune dans sa zone d’intervention des acteurs incontournables du développement local. Avec ces organisations, on pouvait affirmer qu’au Niger les paysans disposaient de cadres organisationnels autonomes pouvant leur permettre de s’affirmer, d’influencer les choix et les orientations des politiques sectorielles et de défendre leurs intérêts.
Cependant, on notait pour le regretter que cette richesse soit insuffisamment valorisée dans la prise en charge des attentes des producteurs et de leurs organisations. Le mouvement paysan ne parvenant que difficilement à imposer son point de vue sur le plan national ou local. Faute de pro activité et d’anticipation, elles étaient acteurs passifs des choix qui les concernaient. Leurs divisions internes et leurs fragmentations étant utilisées par l’Etat et certains partenaires pour les instrumentaliser -
Les organisations paysannes face aux besoins de financement des agriculteurs
Au Niger, moins de 10 % des producteurs obtiennent des crédits auprès des institutions financières directement ou via leurs organisations, mais un grand nombre de producteurs prennent du crédit auprès des commerçants. Les commerçants sont ainsi la « première banque agricole » du Niger avec une multitude de pratiques qui se sont progressivement développées (lire l’expérience de la FCMN ci-contre). Les banques peinent encore à financer le secteur agricole. Lorsqu’elles le font, c’est principalement en adoptant une position de « grossiste » : elles financent les institutions de microfinance impliquées dans le financement de l’agriculture. C’est le cas notamment d’ECOBANK Niger et de la Banque agricole du Niger (Bagri). -
Développement des organisations professionnelles agricoles : Approches de la GIZ
Le présent rapport contient les résultats d’une étude menée entre le 5 octobre et le 13 novembre 2015 à travers l’outil d’enquête en ligne askallo.org. Les représentants de 26 programmes de la GIZ, pour la plupart des programmes bilatéraux et régionaux basés en Afrique et en Asie, ont participé à cette étude. L’objectif principal de l’étude et de ce rapport est de créer une base pour un partage fructueux des leçons apprises, des bonnes pratiques, des stratégies et des instruments pour une promotion effective et efficiente des organisations professionnelles agricoles (OPA) entre les programmes GIZ, et de jeter les bases du développement d’une boîte à outils. Réalisée par le groupe de travail Agribusiness and Food Security (ABFS) du Réseau de développement rural en Afrique (SNRD), cette étude a été saluée par tous les répondants, qui ont souligné le besoin d’échanges accrus sur leurs approches et expériences. La version consolidée de ce rapport a été compilée après des discussions inspirantes lors de la rencontre du SNRD ABFS à Lomé en Mars 2016. -
Un outil de formation pour le renforcement des interprofessions agricoles en Afrique
Le présent module de formation est inspiré d’un programme intégré de formation et de développement de l’agriculture conçu et mis en œuvre par UPA Développement international (UPA DI) et ses partenaires : Les Savoirs des gens de la terre (LSGT). C’est un outil pédagogique qui permet d’introduire les différents concepts inhérents à l’approche d’interprofession. Il a été élaboré en se basant sur l’expérience québécoise de l’Union des producteurs agricoles (UPA) ainsi que sur l’expérience d’UPA DI dans plusieurs pays en développement. La version qui suit a été adaptée à la réalité des interprofessions céréalières ouest-africaines. Ce module vise à rendre les représentants au sein des interprofessions aptes à gouverner de manière professionnelle et efficace les destinées de leur organisation. Elle permettra à ces personnes de comprendre ce qu’est une interprofession, son rôle, ses actions possibles, ses forces et les risques associés ainsi qu’identifier quelques éléments essentiels d’un plan d’action annuel et, si nécessaire, réajuster les activités déjà planifiées.