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Croissance de l'Agriculture en Afrique
L'Afrique abrite la moitié des terres fertiles et non cultivées du monde ; elle possède des ressources hydriques abondantes. A l'échelle mondiale, les agriculteurs africains sont ceux qui produisent le moins à partir de leurs cultures vivrières. les africains importent la moitié du riz qu'ils consomment et payent le prix fort pour cela. -
Atelier des producteurs d’oignon de la région de Tahoua - Thème principal : bilan des magasins RESEDA
En plus du thème principal (magasins RESEDA), quatre autres thèmes ont fait l’objet de présentations et d’échanges : (1) la situation des semences d’oignon au Niger ; (2) les tests d’oignon en hivernage, présentation complétée par une visite sur le terrain ; (3) un partage d’informations sur la gestion du comptoir de Tsernaoua et (4) une présentation sur les chambres d’agriculture et leurs fonctions. -
Programme d'appui au développement agricole durable dans la région de Dosso
Au Niger, le secteur primaire dominé par les activités agropastorales, joue un rôle des essentiel dans la croissance économique, en particulier, le sous-secteur agricole qui demeure la source la source presque exclusive des aliments et nutriments consommés par les nigériens. Malheureusement, la forte sensibilité des activités agropastoraux aux risques multiples fait que le pays n'assure pas une alimentation saine et suffisante à l'ensemble de la population. -
Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder
Le FIDA intervient au Niger depuis trois décennies dans les zones rurales où la concentration de familles pauvres est la plus importante, par une approche intégrée de développement de bassins versants et de leurs bassins de production, au sein de pôles de développement économique et en collaboration avec les collectivités territoriales. -
Programme de travail et budget annuel (PTBA) révisé : 1er Janvier au 31 Décembre 2015, financement additionnel
Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet de Développement des exportations et des Marchés Agro-Sylvo-pastoraux (PRODEX), le Gouvernement du Niger a obtenu de la Banque un financement additionnel de 13,8 millions de dollars US pour assurer d'une part la consolidation du projet initial (le renforcement des maillons faibles des filières, l'accès au financement bancaire, la mise en place d'un système de gestion pour les sous projet) et d'autre part pour appuyer la préparation d'un programme national de gestion des risques agricoles pour le pays. -
Fiche technique des bonnes pratiques de production d’oignon dans la zone des Niayes au Sénégal
Cette fiche technique capitalise les résultats du Centre pour le Développement de l’Horticulture (CDH) de l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA) de la pépinière à la récolte. -
Document technique relatif au financement OFID3 "Programme de Développement de l'Agriculture Familiale - PRODAF"
Le Niger est un pays enclavé d'une superficie de 1.267.000 km² qui fait partie des Pays les Moins Avancés (PMA) et des Pays à Faible Revenu et à Déficit Vivrier. La population nigérienne a été estimée à plus de 17,13 millions de personnes lors du dernier recensement général de la population et de l'habitat de 2012. Les secteurs agricoles et l(élevage au Niger occupent prés de 80% de la population et représentent 41% du PIB du Niger (en 2007). -
Revue des initiatives existantes en matière de gestion des risques agricoles au Niger
La plateforme pour la gestion des risques agricole (PARM), mise en place à l’initiative du G8 et du G20 et hébergée par le Fonds international de développement agricole (FIDA), fournit un appui technique aux gouvernements pour la gestion des risques agricoles. Le secrétariat de la plateforme PARM agit sur le continent africain dans le cadre d’un partenariat stratégique avec l’Agence du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) mis en place par l’Union africaine. Ce partenariat consiste principalement à accompagner le NEPAD dans son approche des risques agricoles, notamment en appuyant huit pays d’Afrique sub-saharienne, dont le Niger, dans l’élaboration d’un plan d’action de gestion des risques agricoles, selon une approche méthodologique harmonisée et un programme d’intervention déjà établi. -
Diagnostic des risques d'inondation et de sécheresse dans les villages administratifs de Garbey Kourou et de Tallé, Commune de Gotheye, Niger
Le diagnostic des risque inondation et sécheresse dans les villages administratifs de Garbey Kourou et Tallé, Commune de Gothèye (Niger) succédant à l’analyse du risque à l’échelle communale conduite par le Projet Anadia-Niger dans la région Tillabéri. Un diagnostic similaire à été développée pour quatre villages de la commune d’Ouro Gueladjio et pour celle de Imanan. Le diagnostic a été développé par une équipe mixte italo-nigérienne composé par fonctionnaires de la commune de Gothèye, de la DMN, chercheurs de l’Ibimet-CNR et du DIST-Politecnico et Université de Turin avec la participation des agriculteurs des deux villages. Garbey Kourou et Tallé sont deux gros villages de la commune (4.600 et 2.600 habitants en 2012) étalées sur la rive gauche de la rivière Sirba prés de sa confluence avec le fleuve Niger. Les deux villages sont ainsi exposés au débordement de la rivière, à inondation pluviale et à sécheresse. -
Directives pour la mise en œuvre du PDDAA pays sous la Déclaration de Malabo
La 2ème Assemblée de l’Union Africaine tenue à Maputo, au Mozambique en juillet 2003, a vu la signature d’une déclaration sur l’agriculture et la sécurité alimentaire. Cette Déclaration de Maputo appelait à un programme type panafricain du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD): le Programme détaillé de développement de l’agriculture africaine (PDDAA). Le PDDAA est considéré comme le véhicule à même de stimuler la production et de relever le défi de la sécurité alimentaire au sein des populations du continent. A ce jour, la Déclaration de Maputo est surtout connue pour son engagement à allouer un minimum de 10% du budget national à l’agriculture pour atteindre une croissance de 6% de l’économie agricole. -
Étude de cas de l'initiative équateur, des solutions locales de développement durable pour les gens, la nature et les communautés résilientes
La Fédération des Unions de Producteurs de Maradi Gaskiya est une initiative axée sur la recherche qui propose des options agro-écologiques aux petits exploitants agricoles. Composée de 17 syndicats, 325 organisations de producteurs et 12 742 membres, son travail comprend la promotion des cultures à haut rendement, la planification participative, la commercialisation des produits et des semences certifiées biologiques, ainsi que la diversification des systèmes de production agricole. Les revenus des agriculteurs se sont améliorés de manière significative, un pourcentage du chiffre d’affaires des syndicats étant investi dans un fonds renouvelable consacré à des projets communautaires. -
Étude de viabilité d'un projet de développement de filière agricole en Amérique Andine
Dans un environnement où l’insécurité alimentaire dans le monde est critique, avec 870 millions de personnes, soit 12.5% de la population mondiale, souffrant de sous-alimentation chronique entre 2010 et 2012 (Fonds Belge pour la Sécurité Alimentaire (FBSA), 2013), de nombreuses ONG sont actives dans le développement de projets visant à réduire l’insécurité alimentaire. On retrouve parmi les acteurs impliqués dans cette thématique Louvain Coopération, une ONG belge qui soutient des projets partout dans le monde autour de trois axes : la qualité des soins de santé (dispensaires, hôpitaux), l’accès aux soins de santé (mutuelles) et le développement de la sécurité alimentaire et économique. Dans le cadre de cette troisième approche, l’ONG a développé un partenariat avec les organisations El Taller et Ceder, il y a maintenant une dizaine d’années, afin de lancer un programme développement de filières agricoles dans les régions d’Arequipa et de Moquegua au sud du Pérou. L’objectif stratégique de ce type de projet est de réduire la pauvreté en renforçant la stabilité économique des populations, notamment en permettant aux populations locales d’accumuler des réserves, de développer des moyens de productions plus performants, d’augmenter leurs revenus et de créer des réseaux de solidarité plus fiables (Henin, 2013).