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Système National de Conseil Agricole
Le présent document, a pour but de : 1 -- Fédérer les dispositifs disparates de Conseil Agricole sous le pilotage de l’état, 2 -- Renforcer les nouveaux acteurs du Conseil Agricole, 3 -- Fournir des orientations pertinentes pour que le Conseil soit complet et réponde à l’ensemble des besoins des acteurs des chaînes de valeur dans toute leur diversité et, 4 -- Régionaliser et adapter les interventions aux spécificité locales. Ce modèle nigérien est différent des autres de la sous région -
PromAP - Formation des associations féminines sur la conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région d'Agadez
Dans le cadre de ses activités, le PromAP a décidé de soutenir les associations féminines des productrices à travers une session de formation sur les techniques de conservation/transformation des produits maraichers notamment l’oignon ; la pomme de terre ; la tomate ; le chou et le moringa.
Le présent rapport s’articule au tour des 5 principaux points suivants :
1-- Introduction
2 -- Rappel des objectifs et des résultats attendus
3 -- Organisation de la formation
4 -- Contenu et progression de la formation
5 -- Conclusion/Recommandations -
Le mil bien pour vous
Ce kakémono présente les avantages multiples pour la santé, les propriétés anti oxydantes, et la nécessité cruciale dans la diversité alimentaire du mil -
Curriculum sur l'organisation des producteurs dans la petite irrigation
le présent curriculum relatif à la vie associative et à la gestion des Organisations Paysannes a été élaboré en vue de garantir une formation harmonisée et de qualité à tous les acteurs de la PI.
Il comporte sept (7) modules qui sont :
-- 1 : Gestion administrative et financière d’une OP ;
-- 2 : Planification stratégique et plan d’action ;
- - 3 : Le lobbying et le plaidoyer ;
- - 4 : Gestion d’équipe et de conflits dans une OP ;
- - 5 : Gestion des approvisionnements en intrants agricoles ;
- - 6 : Gestion de la commercialisation des produits maraîchers ;
-- 7 : Acte uniforme OHADA relatif au droit des sociétés coopératives dans la PI ainsi que les décrets d’application N 2017-829/PRN/MAG/EL (pour les SCOOPS) et N 2017-830 (pour les SCOOP-CA) tous signés et paraphés le 27 octobre 2017. -
Organisation des producteurs de la petite irrigation
Ce guide pédagogique a pour objectif d'aider les formateurs à retrouver les ressources matérielles et techniques d’enseignement appropriées . Il développe 7 modules à savoir:
-- 1 : Gestion administrative et financière des OP;
-- 2 : Planification stratégique et plan d’actions;
-- 3 : le Lobbying et le Plaidoyer;
-- 4 : Gestion d’équipe et des conflits dans une OP;
-- 5 : Gestion des approvisionnements en intrants agricoles;
-- 6 : Gestion de la commercialisation des produits maraîchers;
-- 7 : Acte uniforme (AU) de l’OHADA -
Guide et recommandations pour la réalisation d'un bon diaporama Powerpoint
Cette présentation borde les techniques de réalisation et de présentation d'un bon diaporama. -
Base de données documents PADIP: Liste triée par thème
Cette fiche présente une liste triée par thème de la Base de données documents PADIP. Elle dresse la liste des Documents disponibles en version électronique. -
Étude diagnostique des innovations en petite irrigation dans la région de Tillabéri
Cette étude diagnostique est centrée sur les contraintes des producteurs; elle vise à apprécier la pertinence des innovations agricoles dans le domaine de la petite irrigation dans les trois zones du PromAP, selon les 3 éléments de base :
1- technologique, y compris de nouvelles variétés ou races et les pratiques de gestion des sols ou de l’eau ;
2 - organisationnel, dans le sens d’organiser et de transmettre des connaissances suivant une nouvelle méthode ;
3 - institutionnel, en matière de règles, cultures, valeurs, normes, comportements, politiques et lois. -
Etude diagnostique pour la mise en réseau des acteurs autour des chaînes de valeur prioritaires au niveau des sites de production du PromAP dans les régions d’Agadez et Tahoua
pour faciliter l’initiation des plateformes d’innovation de la petite irrigation dans les sites de production autour des chaines de valeur prioritaires identifiées dans les régions de Tahoua et Agadez et d’analyser les initiatives des plateformes déjà existantes dans la région de Tillabéri afin d’en tirer les leçons pour la mise en place et l’accompagnement des nouvelles plateformes.
Ce rapport présente les constats et les recommandations issus du processus de mise en oeuvre de cette prestation qui a concerné les régions de Tillabéri, Tahoua et Agadez -
Pratiques et technologies pour une Agriculture Intelligente face au Climat (AIC) au Bénin
La présente étude a été initiée en vue d’approfondir les connaissances et d’apporter des éléments scientifiques sur l’adéquation des pratiques agricoles au regard des piliers de l’AIC au Bénin et d’en déduire les bonnes pratiques. L’étude vise spécifiquement à :
1) faire l’état des connaissances disponibles sur les technologies et bonnes pratiques relatives aux trois piliers de l’AIC,
2) faire la compilation et une analyse des différentes technologies et bonnes pratiques par sous-secteur,
3) proposer des options recommandées de pratiques tenant compte des contextes environnementaux et sociaux économiques spécifiques. -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce document décrit la tomate (Lycopersicon esculentum), les itinéraires techniques de sa production et conditionnement au Sénégal et la gestion des ennemis de cette cultures -
Bonnes pratiques agro-sylvo-pastorales d’amélioration durable de la fertilité des sols au Burkina Faso
La gestion de la fertilité des sols est un facteur moteur pour le succès de la production agricole dans les pays du Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS). Aussi de nombreux chercheurs se sont investis depuis des années dans ce domaine d’amélioration de la production agricole. Cependant le constat actuel est que les résultats de ces recherches restent encore faiblement diffusés et difficilement accessibles aux utilisateurs principaux.
Le CILSS avec l’appui de l’Union Européenne a entamé en 2008 « l’Initiative FERSOL», sur la capitalisation des actions d’amélioration durable de la fertilité des sols pour l’aide à la décision au Burkina Faso. Cette initiative s’inscrit dans une logique de développement de la production de connaissances et de renforcement des capacités des acteurs en matière de gestion des ressources naturelles et d'adaptation aux changements climatiques. Elle devrait ainsi contribuer à l’amélioration de la gestion des connaissances, de l’information et au renforcement des capacités des acteurs à travers la production et la mise à disposition des acteurs d‘outils d’information en Gestion Durable de la Fertilité des Sols (GDFS) -
La lutte contre l’alternariose sur l’oignon: Alternaria porri
L'alternariose, ou brûlure alternarienne, est le nom générique d'une série de maladies fongiques dues à diverses espèces de champignons des genres Alternaria ou Ulocladium. La tache pourpre est une maladie des climats chauds et humides. C’est une maladie commune de l’oignon qui peut être très destructive. Elle cause également de grandes pertes économiques chez les porte-graines lorsque les hampes florales sont affectées et détruites. La tache pourpre affecte principalement l’oignon et le poireau, plus rarement l’ail. Les oignons espagnols sont plus sensibles que les oignons jaunes. -
La lutte contre l’araignée rouge : Tetranychus urticae
Appelés aussi tétranyques, araignées jaunes selon les espèces et le stade, révélant d'autres couleurs (orange, verdâtre). On les appelle aussi tétranyques tisserands car ils tissent de fines toiles.
• L’arraignée rouge produit des minuscules taches punctiformes* chlorotiques plus ou moins dispersées apparaissant sur et sous le limbe des feuilles. Ce dernier jaunit progressivement et la feuille finit par roussir, voire se dessécher lors d'attaques sévères. Des nombreuses espèces de Tetranychus présentes dans le monde. On rencontre T. urticae (= T. cinnabarinus), T. neocaledonicus, T. gloveri, T. evansi. Ces espèces se ressemblent beaucoup et ne sont identifiables que par des spécialistes.
• Très polyphages, elles se développent sur plusieurs centaines d'hôtes cultivés ou non, dont la plupart des cultures maraîchères, notamment la tomate, l'aubergine, les cucurbitacées, et le haricot.
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La lutte contre le flétrissement de la tomate : Ralstonia solanacearum
Ralstonia solanacearum est une bactérie tellurique Gram - ; elle est présente surtout dans les régions tropicales, semi-tropicales et tempérées chaudes. Comme son nom l'indique, Ralstonia solanacearum conduit au flétrissement rapide des jeunes feuilles aux moments les plus chauds de la journée, souvent réversible durant la nuit dans un premier temps. Par la suite, les flétrissements se manifestent soudainement et deviennent permanents. Il faut noter l'absence totale de symptômes sur fruits. Assez rapidement, les tissus affectés se nécrosent et se dessèchent, et de nombreuses plantes finissent par mourir. -
Le bovin Kouri
Le bovin Kouri est un animal sans bosse, donc un taurin, élevé sur les îles et le littoral du lac Tchad, aux confins de quatre pays, le Cameroun, le Niger, le Nigeria et le Tchad. Il s’agit d’un animal de grande taille, haut sur patte et dont le poids va de 400 à 500 kg chez les femelles et de 500 à 700 kg chez les mâles. La majorité est de couleur blanche, mais certains animaux peuvent être tachetés de rouge. Il se distingue surtout par ses cornes spectaculaires de différentes formes notamment bulbeuses comme cette photo. -
Défi de l'agriculture africaine et mondiale
Cette analyse dresse un tableau sombre ainsi que de défis et potentiels de l' Agriculture africaine et mondiale.
2.4 milliards de plus de personnes à nourrir à 2050
1.2 milliards de plus d‘Africain dans les villes à 2050
16% des terres africaines sont arables, la plus large réserve du monde
79% de la terre arable africaine reste non cultivée
Les prix d‘engrais ont augmenté de 40% en moyenne
3.5 million de plus de tracteurs sont nécessaires pour mettre l’Afrique au même niveau que les autres régions du monde
Les pertes annuelles céréalières d‘après-récolte en Afrique au Sud du Sahara sont estimées à plus de $4 milliards en moyenne et avoisinent la valeur équivalente d‘importation en céréales de la région. -
La chenille légionnaire du maïs Spodoptera frugiperda
En 2016, une nouvelle chenille est arrivée en Afrique. Elle s’est répandue dans de très nombreux pays (Nigeria, Bénin, Togo, Afrique du Sud, etc.) où elle a fait des dégâts très importants sur le maïs. Cette chenille est appelée chenille du maïs et a pour nom scientifique Spodoptera frugiperda. Elle a été trouvée pour la première fois sur le maïs en novembre 2016 à Torodi et à Maradi. Depuis, elle se trouve dans toutes les régions du Niger. Encore plus grave, cette chenille a attaqué le mil en saison des pluies à Maradi (plusieurs milliers d’hectares) mais aussi à Torodi. Elle est donc un véritable danger potentiel pour les cultures céréalières et il faut la connaître pour pouvoir lutter contre elle. -
La dynamique accélérée des koris de la région de Niamey et ses conséquences sur l'ensablement du fleuve Niger
L’Afrique de l’Ouest est soumise depuis quelques décennies à un rapide changement d’usage des sols, lié à la très forte pression démographique. La région de Niamey en particulier, avec de très nombreux oueds exoréiques appelés localement, « koris » participe de cette dynamique. Il semblerait que l’endoréisme recule à l’échelle des koris comme celui de Boubon, Gorou Kirey etc. L’objectif de cette recherche est de mettre en évidence cette évolution et à l’expliquer, ainsi qu’à insérer cette évolution dans le contexte régional, d’un Sahel où l’endoréisme est très répandu. On essaie de montrer la part des responsabilités entre et facteurs anthropiques et climatiques. On utilise pour cela des relevés de terrain ainsi que des études diachroniques. L’accent est mis sur des suivis cartographiques et diachroniques de l’hydro - morphométrie du bassin, des mesures topographiques in situ sont effectuées à l’aide d’une station totale, des prélèvements ponctuels de matières en suspension dans les koris. Ces suivis sont couplés aux mesures de ruissellement et de pertes en terre sur un de ses versants, selon les états de surface les plus représentatifs de la région. -
Fiche technico-économique pour le riz hors aménagement Région de Diffa
Le riz hors aménagement est cultivé sur les sols de bas-fonds argileux et riches. En irrigué, des casiers sont préparés pour le repiquage des plants de riz issus des pépinières. Le riz est en grande partie utilisé pour la consommation locale. 30% de la production régionale provient des sites hors aménagements selon l’ONAHA de Diffa. C’est l’une des productions irriguées majeures de la région après le poivron. La région compte plus de 700 ha en hors périmètre grâce aux ouvrages de contrôle des mares semi permanentes. -
Fiche technico-économique pour la culture de la canne à sucre
La canne à sucre est une plante cultivée principalement pour ses tiges qui contiennent un jus sucré d’où on tire le sucre. Elle appartient à la famille des graminées comme le mil, le sorgho ou le maïs. Au Niger, elle est surtout utilisée en consommation directe, comme canne de bouche. La canne à sucre est cultivée comme plante annuelle avec une récolte 8 à 10 mois après la plantation. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
L’oignon est une des principales cultures irriguées dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis (Goulbi Maradi et Goulbi Kaba) et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données de 2015 du Ministère de l’Agriculture, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34.200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. La surface moyenne par producteurs est d’environ 1.200 m2 et le rendement moyen est évalué à 20 tonnes/ha (conseil de gestion aux exploitations 2017). -
Fiche technico-économique pour la culture de laitue
La laitue en Houassa Salati, est une culture de courte durée qui se cultive sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder. Sur les sites de Tiss et Middick en périphérie de la ville de Zinder, la laitue se cultive toute l’année, tandis que sur les autres sites elle reste encore une culture de saison sèche froide. Les superficies exploitées varient de 250 à 2500 m2 en saison sèche froide. -
Rapport diagnostic des capacités organisationnelles des organisations paysannes transformation de la zone d’intervention du programme PromAP Tahoua
Dans le cadre de la mise en œuvre des activités de la composante 2 du volet renforcement des capacités, le programme PromAP a commandité une étude diagnostic dans la zone d’intervention de la région de Tahoua. Cette activité qui a été conduite par une consultante externe a concerné dix-neuf (19) organisations paysannes ayant bénéficié de la formation sur la transformation des produits agroalimentaires. La présente étude qui s’inscrit dans le cadre de l’évaluation des capacités institutionnelles des organisations paysannes a durée vingt-huit (28) pour la période du 31 octobre au 27 novembre 2017. -
Installation des haies vives pour la protection des jardins à Yoreizé koira
Par définition, les haies vives défensives sont composées de buissons, des plantations denses et alignées d’arbres ou d’arbustes à branches nombreuses et impénétrables dans un but de délimitation, de défense ou de protection. Le village de Yoreyzé Koira est situé à une cinquante de kilomètres de Niamey sur la route de Namaro et sur la rive droite du fleuve Niger. La haie vive a été introduite dans la commune rurale de Namaro dans les années 90 par les Japonais à travers un projet financé par Japan International Cooperation Aency (JICA). Ce projet a incité des producteurs à clôturer leurs parcelles de culture maraîchère ou fruitière, et à installer des haies vives sur les dunes pour lutter contre l’érosion éolienne. -
Manuel de Communication pour la Sécurité alimentaire
Ce manuel a été élaboré dans le cadre du Programme CE-FAO « Faire le lien entre l’information et la prise de décision pour améliorer la sécurité alimentaire », mis en œuvre par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et financé par l’Union européenne.
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Options technologiques pour une popularisation de l’agriculture irriguée
Il existe essentiellement trois méthodes d'irrigation : l'irrigation de surface, l'irrigation localisée, l'irrigation par aspersion. Cette note décrit chaque type d'irrigation et détaille la gestion de l'eau à la parcelle. -
Restitution des résultats 2017 du Conseil de gestion aux producteurs de poivron de Gourgia et Laouni (Commune de Gazaoua)
La Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi et l’Union Son Kowa de Gourgia ont mis en place un suivi de 60 producteurs de poivron sur les sites de Gourgia et Laouni au cours de la campagne 2016 – 2017. Deux animateurs de l’Union (M. Saadou Leko à Gourgia et M. Hayo Mahamane à Laouni) ont aidé les producteurs à enregistrer les dépenses et les résultats de leurs parcelles de poivron. Ces résultats ont ensuite été analysés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi puis les éléments principaux ont été restitués aux producteurs de deux sites. -
Note d’information sur le développement de la pisciculture à Maradi
La pisciculture se développe de plus en plus à Maradi, en emboitant le pas à Niamey et Dosso, et surtout à la suite de l’essor croissant de cette activité au Nigeria voisin. Depuis quelque temps, le service de l’Environnement s’intéresse à cette activité effectuée par des particuliers ou des groupements dans leurs jardins. -
Note sur les activités de la CdV arachide
La région de Zinder avec une capacité moyenne de production de 100.000 T d’arachide par an (soit 40% de la production nationale) était le premier « bassin arachidier » du pays, doté de deux unités industrielles de production d’huile (Magaria et Matamèye). Le développement d’autres productions oléicoles au niveau mondial, les changements climatiques (déjà) et des problèmes parasitaires ont contribué à une chute de la production arachidière et à la fermeture de ces unités industrielles dans les années 90. Actuellement, le Niger importe 80% de sa consommation d’huile, essentiellement de l’huile de palme des pays asiatiques. Toutefois, à partir de la fin des années 2000, on assiste à un retour de la culture d’arachide dans les systèmes de production, au regard des efforts de recherche variétale et d’une demande du Nigeria de plus en plus importante. A signaler qu’il n’existe pas d’étude récente sur la filière arachide au Niger. Selon les résultats du diagnostic des CdV réalisé par la CRA et le RECA en août 2015, une période de baisse de production a été encore enregistrée durant les 4 dernières années au niveau du principal bassin de production (Département de Kantché) de la région de Zinder. La production annuelle de la région en 2015 s’élève à 121 412 tonnes. -
Note sur le groupement de femmes transformatrices d’arachide en huile et tourteaux de Godo (Kantché)
La localité de Godo fait partie des bassins de production d’arachide de la région de Zinder et la majorité des femmes y exerce la transformation d’arachide en huile et tourteaux comme activité génératrice de revenu (AGR). En 2011, dans le cadre de la mise en œuvre du PASR1, la CRA a mené à Godo des séances de sensibilisation et d’information sur l’accès aux subventions. Le groupement de femmes Tatali de Godo a soumis un projet d’équipement en presses, décortiqueuses, broyeurs, bruloirs, moulin et abri. -
Gestion de la chenille mineuse de l’épi du mil par des lâchers du parasitoïde Habrobracon hebetor Say au Niger
La chenille mineuse de l’épi du mil, Heliocheilus albipunctella De Joannis, est l’un des principaux ravageurs du mil en zone sahélienne. En 2015 et 2016, une démarche de lutte biologique de grande envergure a été initiée par des lâchers du parasitoïde antagoniste ectolarvaire Habrobracon hebetor Say dans les cinq régions du Niger. Des équipes incluant les organisations de producteurs ont été mises en place pour la sensibilisation des agriculteurs, l’identification des zones d’infestation du ravageur et la mise en place de 9177 sacs de lâcher. Les surfaces couvertes ont été estimées à 1 417 680 ha en 2015 et 1 521 330 ha en 2016 soit 21% des surfaces en mil dans les régions concernées. Les évaluations menées au cours des deux années ont permis de noter une augmentation des taux de parasitisme de la chenille mineuse de 168 à 1398% dans les villages de lâcher par rapport aux villages témoins. L’enquête sur la perception a révélé une appréciation positive de 77% des répondants. Ils ont estimé la mortalité moyenne des larves du ravageur à 76% et les gains de rendement à 50%. -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate
La tomate est l’une des principales cultures de la région de Maradi. Elle est produite en culture irriguée et en décrue le long des Goulbis Maradi et Kabba. Le cycle de production dure entre 90 et 120 jours. Les superficies exploitées varient entre 200 et 3.000 m² par producteur. Avec une superficie moyenne de 500 m², on peut obtenir un rendement de 1 tonne soit un produit de 76.000 F.CFA pour 33.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 43.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre fait partie des cultures maraichères les plus pratiquées dans la région de Maradi. Elle est cultivée sur presque tous les sites situés le long des Goulbi Maradi et Goulbi Kaba, principalement sur le site de Mafalia situé à l’extrémité ouest de la ville de Maradi. Sa production se fait en une campagne, en saison sèche froide, avec un cycle variant entre 70 à 120 jours selon les variétés. En moyenne, une production d’environ 1 000 kg pour 1 000 m2 permet de dégager un produit de 200 000 F.CFA pour 91 000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 109 000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
Dans la région de Maradi, l’oignon est principalement cultivé dans les zones traversées par le Goulbi Maradi et le Goulbi Kaba, et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données du Ministère de l’Agriculture de 2015, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34 200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. Le rendement obtenu est évalué entre 15 à 50 tonnes/ha. En moyenne, pour 1000 m², une production de 3 tonnes (rendement de 30 tonnes/ha) permet de dégager des revenus de 200 000 F.CFA pour 52 000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 148 000 FCFA et un ratio produits/charges supérieur à 2 -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds. Il est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou est de 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 2.215 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un produit de 155.000 FCFA pour 77.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 78.000 F.CFA. -
La maladie du rabougrissement de l’arachide : observations sur champ
En Afrique deux maladies virales peuvent entrainer une baisse de production, il s'agit du rabougrissement de l'arachide et de la rosette de l'arachide. -
Atlas des évolutions des systèmes pastoraux au Sahel, Atlas of Trends in pastoral systems in Sahel
L’élevage pastoral sahélien joue un rôle prépondérant dans l’économie des pays de l’Afrique de l’Ouest. Avec une grande diversité d’espèces élevées, il contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages ruraux et urbains. De par sa nature extensive, l’élevage pastoral est largement dépendant des conditions environnementales. A ce titre les interactions avec l’environnement sont intimes, nombreuses et ambivalentes. En effet, les systèmes d’élevage mobile apparaissent comme la principale activité agricole de valorisation durable d’une ressource naturelle fragile et éparse dans les zones sèches sahéliennes. Malgré ce rôle très important, les systèmes pastoraux se trouvent confrontés à de nombreux défis liés, et notamment, à la marginalisation des populations pastorales et à la compétition croissante avec les autres groupes d’utilisateurs e particulier les agriculteurs pour l’accès aux ressources naturelles (pâturages, points d’eau etc.). Le présent Atlas fait la synthèse des informations disponibles sur les transformations des systèmes pastoraux au Sahel, collectées dans le contexte du SIPSA ou par d’autres initiatives. Partant d’une analyse des besoins en information conduite dans le cadre du SIPSA, l’atlas analyse les grandes tendances de l’élevage pastoral et de son contexte. Au regard des impacts des conditions climatiques sur les économies au Sahel, il apparait indispensable de disposer d’analyse prospective sur les différents secteurs des économies des pays du Sahel. Tel est le mérite de cet atlas, un excellent outil qui permettra la prise de décision fondée sur des bases objectives et assurera l’amélioration certaine de la gouvernance du secteur de l’élevage pastoral sahélien. -
Fiche descriptive Nagode
L’hybride Nagode est une variété à graine jaune, précoce (85 jours), productive (5 à 7 tonnes/ha) qui se comporte bien en sol de vallée et même sur sol dunaire riche en matière organique. La variété présente un feuillage de couleur vert-claire et des soies et anthères de couleur rose-claire. La panicule présente un nombre de ramification relativement élevé. La présence du bourrelet anthocyanique à la base des glumes n’est observée que dans des rares cas. Les épis sont gros, insérés au milieu de la tige et présentent une bonne fermeture des spathes. Du fait des poids des épis à la maturité, les tiges ont tendance à s’incliner à leur base au sol notamment sur sol dunaire si le buttage n’est pas effectué au dernier sarclage. Les graines jaunes présentent au niveau de leur sommet une tache jaunâtre d’albumen farineux. Elles sont insérées en rangées droites sur une rafle blanche, cylindro-conique sans pigmentation anthocyanique. -
Fiche technico-économique sésame
Le sésame est une culture en expansion dans la région de Diffa. Ces 5 dernières années, les superficies emblavées en sésame pendant la saison des pluies prennent de plus en plus d’ampleur particulièrement dans les Départements de Goudoumaria, Mainé Soroa et Diffa. Selon les Services Départementaux de l’Agriculture, la culture du sésame occupe environ 1 500 ha. Le sésame est produit en culture pure ou en association avec d’autres cultures comme l’arachide, le sorgho et le mil. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria. Les femmes transforment des petites quantités en gâteaux vendus à 20 Nairas /unité soit environ 25 F.CFA pour la consommation locale. -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
La fertilisation localisée au semis des cultures ou le « microdosage » consiste à mettre, au moment du semis, de petites quantités (doses) d’engrais minéraux appropriés dans les trous de semis d’une culture, communément appelé poquets ; cette technique remplace la pratique de l’épandage (application de l’engrais à la volée ou en ligne) sur toute la superficie d’un champ. Cette méthode peu onéreuse, et particulièrement bien adaptée aux cultures de mil et de sorgho, permet une utilisation plus efficace de l’engrais et une augmentation des rendements agricole de manière durable. -
La mosaïque africaine du manioc, une maladie ignorée des producteurs au Niger
Le manioc (Manihot esculenta Crantz) est cultivé dans près d’une quarantaine de pays d’Afrique. En 2012, la production au Niger se chiffre à plus de 100 000 tonnes obtenues sur environ 7 000 hectares. Cette production représente près de 45 482 tonnes en équivalents céréaliers (Rép. Niger, 2012). Au vu de cette importance dans l’alimentation des Nigériens, toute menace sur la production doit être considérée comme une atteinte à la sécurité alimentaire, et de ce fait être sérieusement combattue. La plus grande contrainte biotique1 à la production de manioc au Niger est sans contexte la Mosaïque Africaine du Manioc (ou African cassava mosaic disease, ACMD), maladie qui sévit dans toutes régions productrices de notre pays. -
Interactions entre la variabilité des écotypes de l’oignon (Allium cepa L.) et les facteurs agro-climatiques au Niger
L’oignon est la première culture maraîchère au Niger. La production annuelle est estimée à près de 561.000 tonnes, classant le Niger au deuxième rang des producteurs ouest-africains derrière le Nigeria. Une collecte portant sur des cultivars locaux d’oignon du Niger réalisée en 2008 a été suivie d’une étude de leur interaction avec les facteurs agro-climatiques du Niger. Les méthodes classiques de collecte de matériel végétal (localisation des sites de collecte sur la carte, identification et description des échantillons, historique des écotypes, conditions culturales, etc..) ont été utilisées. L’aspect variétal vis-à-vis des facteurs agroclimatiques des différentes zones de collecte a été mis en évidence. Le travail a permis de réunir 21 écotypes locaux d’oignon comprenant le Violet de Galmi répartis sur toute la zone de collecte. Il a également permis de montrer que certaines caractéristiques variétales comme la couleur des bulbes, le cycle sont liées aux différences agro-climatiques et géomorphologiques des sites de collecte tandis que d’autres se révèlent indifférentes. -
Rapport annuel 2017 : les statistiques du secteur de l’élevage
Le Ministère de l’Élevage est le Ministère chargé de la conception, de l’élaboration, de la mise en oeuvre du suivi et de l’évaluation de la politique nationale en matière de développement de l’élevage, conformément aux orientations définies par le gouvernement. Le Ministère de l’Élevage emploie environ 1500 agents tous grades confondus, répartis dans les différents services aussi bien à Niamey qu’à l’intérieur du pays. -
La conservation du niébé : goulot d’étranglement de la filière et innovation technologique
Cette note est tirée d’une communication intitulée « Innover pour développer les marchés : le cas de la conservation du niébé au Burkina Faso ». Les connaissances utilisées dans cette communication proviennent des travaux menés par le CIRAD1 avec la collaboration de l’INERA2 dans le cadre de son partenariat avec le Programme d’Appui au Développement de l’Agriculture du Burkina Faso (PADAB II / 2006‐2011) sur sept filières (niébé, poisson, bétail viande, volaille, karité, gomme arabique, bois énergie) dans trois régions du pays (Est, Centre Est, Sahel). Ce programme est soutenu par la Coopération danoise. -
Etude/diagnostic sur les technologies d’irrigation dans le sous-secteur de la petite irrigation
Développement petite irrigation initiée et accompagnée par nombreuses techniques et technologies d’irrigation au début années 2000 en Afrique de l' Ouest et dans les pays du CILSS; ces technologies ont aujourd’hui des fortunes diverses. Cinq (5) principales technologies jugées performantes ont été adoptées par les acteurs notamment les irrigants. -
Le triple ensachage pour la conservation du niébé - Un point de situation
Cette note a été rédigée dans le cadre du partenariat entre le RECA et le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), le RECA étant chargé de réaliser une évaluation des technologies éprouvées dans deux régions du Niger et d’identifier les préoccupations des producteurs et de leurs organisations. -
Initiative ''3N'' pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle et le développement agricole durables ''les nigériens nourrissent les nigériens''
Face au déficit chronique des produits vivriers, notamment céréaliers, l’insécurité alimentaire devient de plus en plus inquiétante et la pauvreté gagne chaque jour du terrain dans le monde rural qui comptabilise actuellement 80% des pauvres du pays, le Président de la République et le Gouvernement ont lancé l’initiative 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens ». Le présent document de stratégie est la traduction opérationnelle de l’initiative. L’i3N est un credo et un engagement politiques forts du Président de la République du Niger. Il constitue un axe majeur du Programme du Président de la République pour la renaissance du Niger. Il est bâti sur les acquis de la Stratégie de Développement Rural et s’inscrit dans le processus de mise en œuvre du Plan de Développement Détaillé pour l’Agriculture en Afrique (PDDAA) et de la Politique Agricole Commune de la CEDEAO (ECOWAP) ainsi que la Politique Agricole de l`UEMOA (PAU). L’I3N permettra au Niger d’accélérer l’atteinte des Objectifs du millénaire, notamment l’OMD1 et l’OMD7. Le contexte du Niger se caractérise par le fait que l’économie du pays est dominée par le secteur primaire (45,2% du PIB en 2010) et une étroitesse du secteur secondaire (11,4% du PIB en 2010). Le secteur primaire est essentiellement agropastoral ; il joue un rôle essentiel dans la croissance économique. Entre 2006 et 2010, le PIB du secteur primaire est passé de 817,66 milliards de FCFA à 1021,27 milliards, soit une progression de 25%, contre 20% pour l’ensemble des secteurs (1906,83 milliards en 2006 à 2295,39 milliards en 2010). -
Fiche technico-économique pour le piment vert
Le piment appelé Tonka en Haoussa comme en Zarma, est une culture que l’on pratique sur presque tous les sites maraîchers du département de Gaya. Les superficies exploitées se situent entre 0,25 ha et 0,75 ha. Un cycle de production de piment vert dure 5 à 6 mois. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 4 tonnes permet de dégager un produit brut de 650.000 F.CFA pour 72.000 FCFA de charges et donc une marge brute de 578.000 F.CFA et un ratio produits/charges de 9. Ce résultat est obtenu par les exploitations agricoles employant principalement de la main d’oeuvre familiale -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre communément appelée « dankali tourawa » en haoussa est l’une des principales spéculations maraîchères de la région de Dosso. Elle est cultivée au niveau du département de Doutchi et de Tibiri et dans une moindre mesure dans la commune de Harikanassou. Selon la variété le cycle de la pomme de terre varie de 70 à 120 jours. Les surfaces mises en valeur varient de 200 à plus de 6.500 m² selon les localités de production. En moyenne, pour 0,5 ha on obtient une production d’environ 6.328 kg qui permettent de dégager 1.582.000 FCFA pour 558.250 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.023.750 FCFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du poivron
Le poivron est la culture principale pratiquée le long du Goulbi Kaba situé au Sud du chef-lieu du département de Gazaoua dans la région de Maradi. Selon une estimation de la CRA réalisée en 2014, plus de 12.000 tonnes de poivron frais sont produits par an dans la région. Le poivron a un cycle de 120 à 150 jours avec 5 à 8 récoltes par campagne pour un rendement évalué entre 10 et 15 tonnes/ha. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 1,5 tonne permet de dégager des revenus de 284.000 F.CFA pour 93.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 190.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche chaude
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une Cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. La principale zone de production concernée est le Dallol Maouri département de Tibiri avec des surfaces cultivées variant de 0,05 à 1 ha par producteur. Elle est principalement cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 11 tonnes permet de dégager un produit brut de 1.785.000 F.CFA pour 235.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 1.550.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon feuilles
L’oignon-feuilles, encore appelé en haoussa Albassa mai gangné ou shafa, est une des principales cultures irriguées de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Damagaram Takaya, Kantché, Magaria, Doungass et Gouré. L’oignon-feuilles a un cycle de 90 à 110 jours du repiquage à la récolte. Les surfaces cultivées sont disparates et varient souvent de 0,1 à 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 9 tonnes permet de dégager des revenus de 1.700.000 F.CFA pour 250.000 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.450.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 6. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est l’une des cultures principales du département de Tibiri qui constitue l’un des plus grands bassins de production de la zone. Les superficies moyennes cultivées par producteur varient de 100 m² à 5.000 m2. Une production moyenne de 2500 m2 permet de générer des revenus de 275.000 F.CFA pour 77.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 198.000 F.CFA et un ratio (produits/charges opérationnelles) supérieur à 2. -
Fiche technico-économique du poivron rouge
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatasay », est cultivé en irrigué dans la vallée de la Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Rendement : meilleurs producteurs 1.800 kg par ha de poivron sec, producteurs moyens 1.300 kg par ha de poivron sec. En année normale, les superficies emblavées en poivron sont estimées à environ 7.000 ha pour une production de poivron sec de 8 à 11.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron rouge est la culture « locomotive » de la vallée de la Komadougou avec environ 5.000 producteurs. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger.
Le développement des cultures irriguées, à la fois en termes d’espaces mais également en termes de périodes de production, entraine une augmentation de la pression des ravageurs et maladies. A cela s’ajoute l’apparition de nouveaux ravageurs. Le manque de connaissances des producteurs maraîchers sur les ravageurs et maladies des cultures, ainsi que sur les différentes méthodes de lutte, entraine des pertes très importantes et une utilisation abusive et/ou inappropriée des pesticides chimiques. Quand un producteur voit sa parcelle, et donc son gagne-mil (adaptation de l’expression gagne-pain) se faire rapidement dévorer et détruire par des ravageurs, il prend la décision la plus facile ou rapide et court acheter un « médicament », un flacon, une boite ou un sachet de pesticides chimiques auprès d’un vendeur de proximité. C’est souvent trop tard et pas très efficace. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger -- Document technique : la protection de la tomate
La gestion intégrée des ravageurs et maladies est un système de lutte économique qui emploie toutes les techniques et méthodes appropriées pour maintenir la population des ravageurs à des niveaux limitant les dommages : utilisation de variétés résistantes/tolérantes, pratiques de culture appropriées et l’application rationnelle de pesticides (en mettant l’accent sur les pesticides biologiques). La tomate est une des cultures les plus répandues à travers le monde. La tomate est cultivée partout au Niger pendant les trois saisons : saison sèche fraiche, saison sèche chaude et saison hivernale. La production principale se situe pendant la saison sèche fraiche. La tomate est un légume fruit de la famille des solanacées, c'est-à-dire de la même famille que le poivron, la pomme de terre, l’aubergine ou le piment. Cela signifie que certains ravageurs seront communs à ces plantes de la même famille et surtout qu’il ne faut pas qu’elles se succèdent dans la rotation. -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce guide liste les techniques mobilisables pour la production de semences de tomates de qualité -
L'agriculture sénégalaise
L'agriculture sénégalaise est essentiellement pluviale et saisonnière. Elle repose à la fois sur des cultures de rente (arachide coton) et sur des cultures vivrières de subsistance (mil, sorgho,
maïs). Le riz, culture traditionnelle en Casamance, se développe fortement dans la vallée du fleuve Sénégal. -
Evaluation de la performance des modèles climatiques sur le Niger
Le présent rapport porte sur la composante 2 du PDIPC (appui à la recherche en modélisation et évaluation de vulnérabilité). IL est le résultat d'une étude intitulée Identification des Modèles Climatiques Régionaux les Plus Performants et le Downscaling Statistico-Dynamique des Modèles Globaux les plus Performants pour le Niger. L'étude s'est déroulée en 7 phases distinctes -
Evaluation de la performance des modèles climatiques sur le Niger
Cette étude évalue la performance des modèles climatiques sur le Niger -
Rapport national Conférence de Rio + 20
Ce présent rapport porte sur la rencontre décennale, également appelées « Sommets de la Terre », qui offre l’opportunité aux dirigeants mondiaux de se réunir pour définir les moyens de stimuler le développement durable au niveau mondial -
Avant-projet de document de politique nationale en matière de changements climatiques (PNLCC)
Ce présent rapport porte sur L'analyse de la situation en matière de changements climatiques, les actions initiées en réponse aux variabilités et changements climatiques , les objectifs et axes de la Politique Nationale en matière de Changements Climatiques (PNCC) et le dispositif institutionnel de mise en œuvre et de suivi-évaluation -
Arrêté de création du Cadre National pour les Services Climatiques en date du 8 Mai 2017
Decret portant sur la création, misson organisation et fonctionnement du cadre national pour les services climatiques -
Système national de conseil agricole (SNCA)
Ce rapport propose une stratégie de relance du conseil agricole au Niger -
La politique semencière nationale
Ce rapport porte sur la politique semencière nationale du Niger -
Plan forestier national du Niger (PFN 2012 – 2021)
Le plan forestier national du Niger est le document de référence pour la mise en oeuvre des actions d'aménagement, de reboisement et de protection des massifs forestiers au Niger -
Niger 2035 : Un pays et un peuple prospères.
Tome - I : Diagnostic, Enjeux & Défis.
Stratégie de Développement Durable et de Croissance InclusiveLe Tome 1 de la Stratégie de Développement Durable et de Croissance Inclusive (SDDCI) cerne les éléments diagnostics, les enjeux et défis de développement du Niger. -
Plan de Développement Economique et Social 2017-2021
Ce rapport porte sur le plan de Développement Economique et Social au Niger, Horizon 2017-2021 -
Elaboration du Plan d’Action National de Gestion Intégrée des Ressources en Eau (PANGIRE) et du Programme d’Investissement Prioritaire (PIP)
Ce rapport porte sur l'élaboration du Plan d’Action National de Gestion Intégrée des Ressources en Eau (PANGIRE) et du Programme d’Investissement Prioritaire (PIP)
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Procédés de transformation de la mangue et niveau de connaissance des normes de qualité par les unités de production au Burkina Faso
Cet article porte sur la transformation artisanale de la mangue au Burkina Faso -
Guide de la transformation de la mangue par le séchage au Burkina Faso
Le guide est articulé autour de quatre (4) grands chapitres : 1. Description du manguier et son importance socio-économique 2. Principales technologies de séchage de la mangue au Burkina Faso 3. Bonnes pratiques du séchage de la mangue 4. Démarches et formalités pour l’installation d’une unité de transformation de la mangue -
La fertilisation en maraichage biologique
C’est dans les exploitations maraîchères que l’on rencontre les systèmes agricoles les plus intensifs, caractérisés par des successions de cultures rapides sur la même parcelle. La majorité de ces exploitations sont spécialisées, de ce fait la fertilisation est réalisée à partir d’intrants. Les exportations conséquentes et les besoins ponctuels importants de certaines cultures entraînent très souvent l’utilisation d’engrais -
Réduction des pertes post-récolte en Afrique: Basée sur l’expérience du CIRAD
Ce diaporama porte sur la réduction des pertes post-récolte en Afrique -
La production de semences maraîchères
Ce présente fiche technique porte sur La production de semences maraîchères
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Fiche technique de la poudre de Feuilles de Moringa
Cette fiche technique explique comment réaliser et utiliser la poudre de feuilles de Moringa -
Culture et entretien du moringa
Cette fiche porte sur la culture et l'entretien du moringa -
L’état de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture en Niger : premier rapport national
Ce rapport de pays a été préparé par les autorités nationales dans le cadre de la publication de la FAO intitulée L’État de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture dans le monde. Ce rapport a été rendu disponible par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) à la requête de la Commission des ressources génétiques pour l’alimentation et l’agriculture. Les informations qui y sont contenues n’ont pas fait l’objet de vérifications de la part de la FAO, et les opinions qui y sont exprimées sont celles du/des auteur(s) et ne reflètent pas nécessairement celles de la FAO ou de ses membres. Les appellations employées dans ce produit d’information et la présentation des données qui y figurent n’impliquent de la part de la FAO aucune prise de position quant au statut juridique ou au stade de développement des pays, territoires, villes ou zones ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites. La mention de sociétés déterminés ou de produits de fabricants, qu’ils soient ou non brevetés, n’entraîne, de la part de la FAO, aucune approbation ou recommandation desdits produits de préférence à d’autres de nature analogue qui ne sont pas cités. -
Flore et végétation des parcours naturels de la région de Maradi, Niger
Cette étude analyse la flore, la végétation et la relation entre la végétation et les variables environnementales des pâturages naturels de la région de Maradi. Les relevés de végétation ont été effectués dans 150 placettes de 1000 m² suivant l’approche sigmatiste de Braun-Blanquet. En plus des échantillons composites de sol prélevés pour des analyses pédologiques au laboratoire, les coordonnées GPS, la géomorphologie et la texture du sol ont été relevées dans les mêmes placettes. Au total 156 espèces végétales dont 22 espèces ligneuses soit 14,1 % et 134 espèces herbacées soit 85,9 % ont été recensées. Ces espèces sont reparties dans 37 familles botaniques dont la plus importante est celle des Poaceae suivie par les Leguminosea-Papilionoideae, les Convolvulaceae et les Leguminosae-Caesalpinoideae. L’analyse des types biologiques et phytogéographiques révèle respectivement une prédominance des Thérophytes et des espèces à large distribution telles que les Paléotropicales et les Pantropicales. L’AFCD et la CHA ont permis de distinguer 10 groupements végétaux repartis suivant le gradient climatique de la zone d’étude. L’ACC et le test de Monte-Carlo ont permis de mettre en relation ces groupements végétaux et les variables environnementales. Les variables environnementales qui ont un effet significatif sur la distribution des espèces et la structuration de la végétation sont, outre la pluviométrie, la texture du sol (taux de sable) et le pH. -
La pépinière d’agrumes, manguiers et avocatiers au Sénégal
La présente fiche montre comment réaliser une pépinière d’agrumes, manguiers et avocatiers au Sénégal
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Résultats du Conseil de Gestion à l’Exploitation Familiale pour la culture du riz hors aménagement / Campagne 2016 Partie (1)
Dans la région de Diffa, la production du riz hors aménagement se fait le long de la vallée de la Komadougou et autour des mares permanentes. C’est l’une des productions irriguées majeures de la région après le poivron. Elle compte environ 700 ha en hors aménagement (ONAHA, 2015) grâce au développement des forages PVC et aux ouvrages de contrôle des mares semi permanentes. Le riz est une culture qui nécessite une bonne maîtrise des techniques mais également une réelle capacité de gestion. En effet, un hectare de cette culture demande d’investir entre 200.000 et 350.000 de F.CFA. -
Faire son compost
Ce guide porte sur la fabrication du compost tout en reduisant ses déchets et en nourrissant le sol -
Combien pourrait rapporter une plantation de gommiers dans la région de Diffa ?
Dans le cadre des microprojets mis en place sur financement du Fonds d’Appui Régional du Programme d’Appui au Secteur Rural, deux groupements de producteurs de la commune de Goudoumaria ont obtenu un financement pour la réhabilitation / plantation de 10 hectares de gommeraie (Acacia senegal), chacun. Le dossier de financement précise que chaque plantation de 10 ha dégagera un revenu de 350.000 F.CFA la cinquième année et 700.000 F.CFA à partir de la sixième année. -
La démarche liée à l’origine du Violet de Galmi, Niger
L’oignon « Violet de Galmi » est issu d’une innovation technique en 1975 et c’est depuis lors qu’il porte véritablement ce « nom ». Cependant, il convient de préciser que la relation entre les populations locales et leur ressource ne date pas de cette période. Elle remonte à trois siècles d’histoire commune, dont les fondements se rattachent au commerce caravanier. Ce dernier serait selon DAVID Olivier (1999), le vecteur de l’introduction de l’oignon dans l’espace nigérien. Les oignons violets de la Maggia dont est issu la souche du violet de Galmi étaient restés peu connus jusqu’aux travaux de l’IRAT, dont la publication à travers le monde leur a fait l’écho d’une publicité2. C’est ainsi que les meilleurs d’entre eux à savoir : le Violet de Galmi, le Blanc de Galmi ainsi que le Blanc de Soumarana seront devenus des variétés connues. -
Valorisation des ressources pastorales, amélioration des conditions de vie des et protection de l' environnement
L’étude a pour but de présenter les bonnes pratiques en matière de conservation des eaux et des sols (CES) et de défense et restauration des sols (DRS) dans la région nord de Tahoua. Ces éléments permettront aux décideurs des pays en développement, à leurs partenaires techniques et financiers et aux bureaux d’ingénierie technique et sociale de mieux concevoir des programmes d’aménagement pastoral répondant à la demande des bénéficiaires et de mettre en place des modes de gestion adaptés. -
Evolution des prix de gros du moringa sur les marchés de Niamey (Djémadjé et Harobanda)
Cette note présente l’évolution des prix moringa sur les principaux marchés de Niamey pour les semaines du 20 - 26 avril 2015 (semaine 17), au 23 – 30 juillet 2017 (semaine 30) et une comparaison des prix sur les trois périodes de Ramadan. -
Organisation des producteurs de la petite irrigation
Ce présent document porte le renforcement des capacités des acteurs intermédiaires dans l’accompagnement des organisations des producteurs en petite irrigation pour leur développement de leur épanouissement professionnel. -
Curriculum sur la strategie de la petite irrigation au Niger (spin)
L’objectif de ce manuel est de renforcer les capacités des formateurs dans le domaine de la connaissance de la Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN) et ses annexes notamment : (i) le plan d’action de la SPIN et (ii) le plan stratégique de renforcement de capacités Il vise à encourager une formation axée sur la compétence qui se fonde sur les principes de l’apprentissage des adultes (l’andragogie). Cela signifie que la formation est à caractère participatif, pertinent et pratique. Les principes de l’andragogie se fondent sur l’hypothèse selon laquelle les adultes participent aux stages de formation car : ▪ Ils sont intéressés par le sujet; ▪ Ils désirent améliorer leurs connaissances et performances professionnelles ; ▪ Ils désirent participer activement aux activités du cours. -
Leptadenia hastata (hanam ou yadiya) De superbes potentialités mais une plante oubliée
Il s’agit d’une plante appelée hanam en Zarma, yadiya en Haoussa, Leptadenia hastata comme nom scientifique (Famille des Asclepediaceae). Leptadenia hastata est une plante à latex particulièrement vivace et résistante à la sécheresse. C’est une liane à la croissance forte pendant la saison sèche et ralentie pendant la saison des pluies. Elle rampe sur le sol ou elle s’enroule autour d’un arbre (photo 3). -
DÉCRET N 2017-665/PRN du 02 août 2017 portant création d'un établissement public de financement dénommé '' fonds d'investissement pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle '' (FISAN) au Niger
Il est créé en République du Niger, un établissement public de financement dénommé << Fonds d’Investissement pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle >> en abrégé << FISAN >> régi par l'ordonnance N° 99-054 instituant une catégorie d'etablissements publics de financement. -
DÉCRET N 2017-667/PRN/MAG/EL du 02 août 2017 portant création de l’Agence de Promotion du Conseil Agricole (APCA)
Il est créé en République du Niger, un établissement public à caractère administratif dénommé << Agence de Promotion du Conseil Agricole >> en abrégé << APCA >>, elle est régie par l'ordonnance N° 86-001 du 10 janvier 1986 portant régime général des établissement publics, sociétés d’état et sociétés d’économie mixte. -
DÉCRET N 2017-668/PRN du 02 août 2017 portant approbation des statuts du fonds d'investissement pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle (FISAN)
Article premier : Sont approuvés tels que annexés au présent décret les statuts du fonds d’investissement pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle (FISAN). -
Bonne pratique sur l’approche participative basée sur la logique « bassin versant » : Karkara un cas pratique
Le terroir de Karkara dans la commune de convergence d’Allakaye département de Bouza compte une population de 36 295. Il est confronté aux effets néfastes du changement climatique qui se traduisent, entre autres, par la perte du potentiel productif et l’accélération de la dégradation des ressources agro-sylvo-pastorales qui affectent de manière significative les conditions de vie de la population et du cheptel. Les populations y adoptent des stratégies d’adaptation négatives, comme l’émigration dite de « détresse » ou forcée ou des pratiques préjudiciables à l’environnement, comme la coupe abusive de bois, la mise en culture de terres marginalisées sans apport de fumure, etc. L’occupation incontrôlée de terres engendre très souvent des conflits relatifs à l’utilisation des ressources naturelles, comme l’eau et les pâturages, opposant ainsi les agriculteurs, les éleveurs et les pasteurs. -
Caractérisation des stratégies d'adaptation au changement climatique en agriculture paysanne
Etude de capitalisation réalisée sur les terrains de coopération d’AVSF -
Le traitement de la paille à l’urée Cas de la Région de Diffa
Cette note a été rédigée dans le cadre du partenariat entre le RECA et le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), le RECA étant chargé de réaliser une évaluation des technologies éprouvées dans deux régions du Niger et d’identifier les préoccupations des producteurs et de leurs organisations. Elle est basée sur des entretiens menés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa avec des membres des Services techniques, des éleveurs, des OP et des projets, et complétée par la lecture de documents. Le RECA ne prétend pas avoir fait le tour de la question, ni vu toutes les expériences, ni rencontré tous les acteurs. Les observations et analyses sont provisoires. Cette note sera progressivement complétée et améliorée. Les apports et compléments sont souhaités afin d’enrichir ce travail de capitalisation sur la situation des technologies et techniques générées et/ou diffusées au Niger par l’ensemble des acteurs. -
Les nématodes parasites du Moringa dans la zone périurbaine de Niamey (Niger)
Moringa (Moringa oleifera Lam) est une culture qui prend de plus en plus de l’importance au Niger mais très peu d’intérêt a été porté aux problèmes phytosanitaires. L’objectif de l’étude était d’identifier les nématodes parasites qui lui sont associés.
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Au Sénégal, des pompes à pédales pour l'irrigation des cultures
Au Sénégal, l'USAID encourage les producteurs agricoles à utiliser les pompes à pédales fiables et moins chères pour l'irrigation des cultures maraichères. Cette initiative a permis également le développement du partenariat avec les artisans locaux pour la fabrication des pompes. -
Comment cultiver ses pommes de terre sous paille ?
Comment cultiver ses pommes de terre sous paille. Toutes les étapes de la non-préparation du sol jusqu'à la récolte des patates !
Facebook : https://www.facebook.com/permaraicher -
AVSF - Réponses paysannes aux changements climatiques
Les paysans : premières victimes du changement climatique.
Le réseau VSF Europa lance une campagne européenne sur le petit élevage face au changement climatique.
Ne pas confondre [petits] éleveurs et [gros] pollueurs
Selon le rapport mondial 2011 sur l'élevage de la FAO, 120 millions de personnes dépendent de leur bétail pour assurer leur sécurité alimentaire. A l'opposé d'une agriculture intensive, des centaines de millions de petits producteurs dans le monde luttent contre le réchauffement climatique et en sont de fait les premières victimes.
La principale cause du changement climatique est l'émission de gaz à effet de serre.
Hors, l'activité d'élevage dans son ensemble représente 18 % de ces émissions de gaz. Pourtant, la contribution des petits élevages ne doit pas être confondue avec celle des élevages intensifs, grands consommateurs d'énergie fossiles.
Un réseau européen au service d'une cause mondiale
AVSF appartient au réseau VSF Europa qui soutient le petit l'élevage pour lutter contre la pauvreté et la malnutrition. Cette vidéo a été réalisée pour une campagne européenne de sensibilisation sur le rôle déterminant de l'élevage paysan pour répondre aux impacts du changement climatique. Elle a été tournée à Madagascar, en Iran et au Sud Soudan en 2011 pour mieux comprendre les stratégies d'adaptation qu'ont développées les éleveurs paysans.
Pour suivre cette campagne : www.smallscalefarming.org -
Pour le meilleur et pour l'oignon (ST Français Part 1 - Niger)
Le violet de Galmi, l’oignon nigérien, irrigue les marchés ouest-africains avec ses 400.000 tonnes produites par an. À Galmi même, Salamatou attend son mariage depuis 2 ans. Pressé par la belle-famille et les commérages du village, son père Yaro se décide : "Le mariage aura lieu à la récolte !" Yaro sait que pour honorer cet engagement il doit cette fois-ci produire plus, et vendre plus cher.. -
Pour le meilleur et pour l'oignon - français ST - part 2
Le violet de Galmi, l’oignon nigérien, irrigue les marchés ouest-africains avec ses 400.000 tonnes produites par an. À Galmi même, Salamatou attend son mariage depuis 2 ans. Pressé par la belle-famille et les commérages du village, son père Yaro se décide : "Le mariage aura lieu à la récolte !" Yaro sait que pour honorer cet engagement il doit cette fois-ci produire plus, et vendre plus cher.. -
Les productrices maraîchères de la commune Rurale de Tondikiwindi (Niger) s’adaptent à l’adversité climatique
La campagne agricole 2011-2012 au niveau national en général et régional en particulier a été caractérisée par un déficit céréalier qui a conduit le gouvernement nigérien à élaborer un plan de soutien aux populations vulnérables et à demander l’appui des différents partenaires en vue d’y faire face. -
Plan de Développement Économique et Social 2017-2021
Le PDES 2017-2021 est articulé autour de cinq chapitres. Le premier chapitre analyse le contexte et dresse le bilan-diagnostic actuel de la situation du pays. Le deuxième chapitre présente les orientations stratégiques qui en découlent, tout en se référant au Programme 2030 des Nations Unies, à l’Agenda 2063 de l’Union Africaine et le Document d’Orientations Économiques. Le troisième chapitre porte sur la structure programmatique du PDES, le quatrième chapitre présente les mécanismes de mise en œuvre et de suivi évaluation et le cinquième porte sur l’analyse et la mitigation des risques et facteurs de succès. -
Techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel
Techniques de maraîchage. gestion des exploiataions maraîchères. fiches techniques de production des cultures maraîchères -
Fertilisation des Plantes à Parfum et Plantes Aromatiques
Les plantes à parfum (PàP) et les plantes aromatiques (PA) biologiques représentent en 2011 un peu plus de 1 800 hectares sur la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
La majorité des plantes à parfum et plantes aromatiques est cultivée dans les Alpes de Haute-Provence et le Vaucluse. -
Le méteil (mélange fourrager) : un itinéraire technique simple
Cette fiche propose un itinéraire technique pour la culture d'un mélange fourrager -
Biocontrôle de l'acarien rouge en verger de pommiers
Cette fiche technique présente plusieurs options pour assurer le contrôle de l'acarien rouge en arboriculture fruitière, sous production biologique -
Les Filets Alt’Carpo
Ce présent guide porte sur Alt’Carpo, une méthode de protection alternative contre le carpocapse basée sur l’utilisation de filets qui établissent une barrière physique autour des arbres. -
Les micro-organismes efficaces
Compilation de documents et témoignages cubains sur le fonctionnement, la production artisanale et l'usage de microorganismes efficaces en milieu paysan -
Fertilisation en arboriculture
En cultures pérennes et plus particulièrement en arboriculture, on recherche d’abord à maintenir un milieu biologiquement actif avec un équilibre sol/plante garantissant une croissance puis une fructification optimale. Les vergers n’exportent que peu d’éléments minéraux comparativement aux cultures annuelles, seuls les besoins en potassium sont élevés. -
Etude de capitalisation sur l’expérience marocaine en agriculture de conservation depuis 1980
L’Ecole Nationale d’Agriculture de Meknès a été mandatée par l’association Fert pour réaliser une étude de capitalisation sur l’expérience marocaine en agriculture de conservation depuis les années 1980. Le contrat qui lie les deux institutions tente de répondre à la question centrale suivante : Quelle est la situation de l’agriculture de conservation au Maroc et quelles sont les mesures à mettre en place pour son développement à une grande échelle ?
L’objectif principal de l’étude est de disposer d’une image claire sur la situation de l’agriculture de conservation au Maroc et de comprendre comment et pourquoi son développement jusqu’à ce jour est encore limité ? L’étude s’est attachée par ailleurs, à dresser les perspectives d’évolution et à émettre des recommandations et des pistes de réflexion susceptibles d’accompagner son développement. -
Mémento technique tech&bio 2017 - Maraîchage et légumes
Cette présente fiche technique porte sur le maraîchage et légumes bio. -
Référentiel technique pour la culture de l’amandier en Provence-alpes-Côte d’azur
Le présent guide porte sur la culture de l’amandier en Provence-alpes-Côte d’azur -
External influences on agro-enterprise innovation platforms in Benin, Ghana and Mali – Options for effective responses
Cet article analyse les facteurs externes influençant les plate-formes d’innovation (PI) et les différentes réactions possibles. Les plateformes étudiées dans cet article ont été conçues pour favoriser le changement institutionnel et l’innovation au profit des petits acteurs du secteur agricole au Bénin, au Ghana et au Mali. Elles ont été imaginées et mises en place de façon à pouvoir tester des processus de changement dans les domaines choisis. Dans chaque cas, un associé de recherche a facilité le travail de la PI et a mis en oeuvre les théories du changement et a documenté les processus d’innovation élaborés par les membres de chaque plate-forme. Les données récoltées permettent l’analyse des facteurs externes influençant les PI. Dans un premier temps, cet article présente une typologie des influences externes majeures, pour ensuite utiliser cette même typologie afin d’analyser les influences sur les PI et leurs réactions face à ces facteurs externes. Les influences les plus importantes sont d’origine mondiale, sousrégionale, ainsi que nationale. Les réponses des PI ont été diverses ; elles incluent pour la plupart la recomposition des équipes, du lobbying, ainsi que l’augmentation de la capacité d’action des petits acteurs en facilitant l’accès aux aides financières et à de nouvelles connaissances et compétences. Cet article illustre les leçons tirées par les membres des plate-formes face aux défis rencontrés. On constate que les facteurs externes influencent de façon significative l’orientation de l’innovation sociotechnique et institutionnelle. -
Contribution of an innovation platform to change the management of collective irrigation : a case study from the Office du Niger (Mali)
Dans les vastes rizières de l’Office du Niger au Mali, la gestion de l’eau a longtemps été une source de tension entre les petits exploitants et l’administration. Le transfert partiel de cette gestion, avec une répartition de la maintenance des canaux entre les petits exploitants, l’Office du Niger et l’État n’a pas vraiment permis d’atteindre de meilleurs résultats. Une plateforme d’innovation établie par le programme CoS-SIS (Convergence of Sciences – Strengthening Innovation Systems) a abouti à un accord consensuel conférant le nettoyage des canaux tertiaires aux petits exploitants. Elle a aussi actualisé les règles d’expulsion des exploitants en cas de non-paiement de la redevance eau et a modifié les dispositions clefs du Contrat Plan qui régit les tâches et les responsabilités des exploitants, du personnel de l’Office du Niger et de l’État. -
Le dromadaire et l’oasis : du caravansérail à l’élevage périurbain
Les relations entre le dromadaire et l’oasis relèvent d’une certaine ambiguïté car le dromadaire, animal du nomade par excellence, marque les territoires désertiques de sa mobilité alors que l’oasis est, par essence, un point d’attache. Si, au cours de l’histoire, le dromadaire ne pénétrait en ville que pour les étapes
caravanières (les caravansérails), il n’y demeurait que rarement sauf à jouer les auxiliaires pour l’agriculture
oasienne. L’évolution des systèmes de production, l’augmentation de la demande en protéines animales pour approvisionner une population urbaine grandissante, ainsi que les espérances sociales des éleveurs nomades en matière d’éducation et de santé ont contribué à modifier la relation entre les élevages de dromadaire et la ville oasienne. Le développement d’un élevage camelin périurbain tant pour l’approvisionnement en lait qu’en viande a bouleversé les antiques liens entre nomades et sédentaires, se traduisant par une interpénétration accrue des activités portées par les uns et les autres. L’article s’appuie sur plusieurs exemples des évolutions constatées en Afrique saharienne (Mauritanie, Algérie, Tunisie), au Sahel (Tchad, Niger), au Moyen-Orient (Arabie saoudite) et en Asie centrale (Kazakhstan, Turkménistan). -
Viabilité de l’élevage pastoral au Sahel : étude de quelques paramètres démographiques des élevages de Hombori (Mali)
L’élevage pastoral représente la principale activité économique de nombreux ménages au nord du Sahel. Malgré la qualité des pâturages au cours de la saison des pluies, cet élevage est soumis à de nombreuses contraintes liées à l’irrégularité de la disponibilité fourragère, aux difficultés d’accès aux compléments alimentaires et aux soins vétérinaires qui rendent précaires les productions animales. Or la demande en produits d’origine animale est en forte augmentation du fait de la croissance démographique soutenue et de la rapide urbanisation au Sahel et dans les pays côtiers. Cette étude à pour objectif de documenter les paramètres démographiques des troupeaux et la production fourragère des parcours utilisés par l’élevage pastoral de la commune de Hombori située au nord-est du Sahel malien. -
Climate-smart agriculture : pour une agriculture climato-compatible
L’agriculture intelligente face au climat (climate-smart agriculture – CSA) a comme objectifs d’être adaptée au changement climatique et de l’atténuer, tout en contribuant de manière durable à la sécurité alimentaire. -
Les fiches "matière organique"
Ces fiches sont destinées aux conseillers techniques et animateurs ayant besoin de références techniques sur les amendements organiques :
- Quel est le rôle des matières organiques dans le sol ?
- Pourquoi et comment les utiliser ?
- Auprès de quel fournisseur s’approvisionner ?
- Quelles sont les contraintes réglementaires de la
fertilisation biologique ?
- Comment pratiquer le compostage ? -
Etude de capitalisation sur l’expérience marocaine en agriculture de conservation depuis 1980
Cette étude capitalise l'expérience du Maroc en matière d'agriculture de conservation depuis 40 ans -
Utiliser l'eucalyptus en tant qu'insectifuge, contre la teigne de la pomme de terre
Cette note présente les propriétés de l'eucalyptus pour lutter contre les ravageurs de la pomme de terres -
Technique de mise en place et de gestion d’une pépinière agroforestière
avec l’APAFCette note donne des conseils sur les modalités de réalisation de pépinières agroforestières -
Guide de production des semences de riz
Ce guide pratique a pour but d’appuyer les groupes d’agriculteurs producteurs de semences de riz à améliorer la qualité des semences qu’ils vont produire. Il se veut une contribution à l’amélioration de la production rizicole au Mali. -
Champ école paysan
Présentation du concept de champ-école paysan -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
Fiche d'information sur l'application de microdoses d'engrais -
Script radio : Deuxième épisode : Microdose ou la fertilisation localisée au moment des semis des cultures
Nous sommes à l’approche de la campagne hivernale. Grâce aux revenus obtenus à travers les opérations de warrantage conduites après chaque campagne par leurs organisations paysannes, de nombreux producteurs et productrices s’approvisionnent désormais en engrais à la boutique d’intrants. Suite à des actions de développement visant à une utilisation rationnelle des engrais, les producteurs et productrices l’utilisent dans leurs champs pour améliorer le rendement des différentes spéculations qu’ils cultivent. Dans la plupart des cas, les cultures au stade de levée présentent un état végétatif agréable à voir -
La production de semences maraîchères
Pour réussir une culture semencière, les techniques culturales préconisées sont d’abord celles qui permettent d’optimiser le rendement d’une culture destinée à la consommation. En effet, la production de semences sur une plante ne peut être maximisée que si celle-ci a une croissance vigoureuse, un développement normal,
une floraison abondante, une fructification maximale et un état sanitaire parfait. -
Identification des insectes, parasites et évaluation économique de leurs pertes en graines sur les variétés améliorées et locale de niébé en milieu paysan à Karma (Niger)
Au Niger, la production de niébé est affectée par des contraintes biotiques et abiotiques. Les objectifs de la présente étude sont d’identifier les insectes et parasites au cours de la phénologie des variétés améliorées et locale de niébé ; d’estimer les pertes en graines et en valeur monétaire dues aux ravageurs. -
La Production et Protection Intégrées appliquée aux cultures maraîchères en Afrique soudano-sahélienne
Ce document est destiné aux ingénieurs agronomes et aux vulgarisateurs. Il propose une stratégie pour la production de légumes « sains » afin de les guider vers la constitution de protocoles de cultures ou de référentiels techniques qui permettraient de donner aux maraîchers les connaissances pour produire des légumes bénéficiant d’un label assurant des produits de qualité. -
La culture du haricot nain au Sénégal
Ce guide synthétise les connaissances acquises sur la culture du haricot nain au Sénégal -
L’élevage ovin D’man en pratiques
Le guide « l’élevage ovin D’man en pratiques » est le résultat d’un travail de capitalisation de la démarche et des pratiques mises en oeuvre dans le cadre de notre collaboration avec AGRISUD. Il a pour objectif de partager l’expérience avec nos autres partenaires pour une mise en cohérence de nos interventions au profit des populations. Je ne doute pas de son utilité pour tous ! -
La culture du papayer au Sénégal
Ce rapport présente différents éléments de l'itinéraire technique du papayer -
Les pépinière d’agrumes, de manguiers et d'avocatiers au Sénégal
La pépinière est le lieu de production des plants qui constitueront le matériel végétal utilisé pour la création des futurs vergers. Du choix de ce matériel, des soins apportés à son développement pendant son séjour en pépinière, de la qualité des plants produits, dépendront en grande partie la longévité et la rentabilité des vergers. Une pépinière ne s’improvise pas et se doit de sortir des plants élite. -
La culture des agrumes au Sénégal
Description d'itinéraires techniques pour la culture des agrumes au Sénégal -
Agriculture du carbone : Couverts végétaux, Techniques superficielles, Agriculture Biologique et Agroforesterie
Synthèse des deux journées de rencontre et d’échanges entre agriculteurs du Sud-Ouest de la France -
Le citrus greening : détection et moyens de lutte envisageables
Le Citrus Greening ou Huanglongbing est causé par Candidatus Liberibacter, une 'bactérie' du Phloème. La maladie fut détectée pour la première fois en Guadeloupe en avril 2012. Cette maladie est mortelle pour les agrumes et aucun traitement n’existe. Elle est transmise par un insecte vecteur, le psylle (Diaphorinia citri) qui s’attaque aux jeunes pousses. -
Note d'information de la FAO sur la chenille légionnaire d'automne en Afrique
Note d'information sur la chenille légionnaire -
La sélection de légumineuses comme engrais verts/cultures de couverture
Cet article présente des éléments de choix pour la sélection de légumineuses pour jouer un rôle d'engrais vert et/ou de cultures de couverture -
L'état de l'alimentation et l'agriculture au Niger
L’agro-biodiversité est essentiellement exploitée par une agriculture vivrière de subsistance dominée par la culture pluviale des céréales (mil, sorgho, riz, blé, maïs et fonio) et les cultures de rente (niébé, arachide, voandzou, sésame, souchet, oseille) -
Reconnaissance des ravageurs des cultures
La réédition suivante a pour objectif de fournir des exemples de méthodes
de luttes alternatives contre les ravageurs des cultures :
• Itinéraires techniques et méthodes culturales adaptées
• Mise en place d’une biodiversité fonctionnelle favorable à la
présence d’auxiliaires
• Traitements avec des produits homologués en bio
En règle générale, il faut retenir que plus la plante sera vigoureuse au
départ moins elle sera sensible aux ravageurs.
Cela signifie :
• de bonnes conditions lors du semis pour assurer un démarrage
rapide
• un bon fonctionnement du sol (vie du sol et fertilité)
• pas de déséquilibre favorisant le développement d’un ravageur -
Plan de fabrication d'une butteuse
La présente version de la butteuse est le résultat des évolutions par l'usage, d'expérimentations paysannes quotidiennes, des ajustements pratiques issus des retours des participants aux nombreuses formations et journées de terrain collectives. -
Le monde mystérieux des cochenilles
Les cochenilles sont des insectes peu connus qui ont pourtant longtemps contribué à notre vie domestique. Toutefois, certaines espèces demeurent aujourd'hui d'importants ravageurs. La lutte biologique semble l'un des moyens de lutte les plus prometteurs -
Normes techniques et pratiques locales des producteurs dans les périmètres rizicoles irrigués de Toula et de Bonféba au Niger
Au Niger, la riziculture contribue pour beaucoup dans la sécurité alimentaire des populations. Les différents investissements effectués par le pays ont permis de promouvoir la riziculture irriguée dans la vallée du fleuve avec deux récoltes de riz par an et donc d’augmenter significativement les productions. Mais, force et de constater que les normes techniques censées être en application sur les périmètres rizicoles irrigués ont subi des changements au fil des années réduisant, ainsi, les performances espérées de cette riziculture moderne. La présente étude avait pour objectif d’analyser l’évolution des normes techniques de la production du riz et les pratiques locales dans les périmètres irrigués. -
Mouche du chou
La mouche du chou a été introduite en Amérique du Nord probablement au début des années 1800 et elle est maintenant retrouvée partout au Canada. Cette espèce produit de 3 à 4 générations par année. Au Québec, les adultes provenant des pupes hibernantes émergent du sol de la fin avril à la mi-mai. Ceux-ci peuvent parcourir plusieurs centaines de mètres par jour pour trouver une plante-hôte. Au moment de la ponte, les œufs sont généralement déposés dans le sol à proximité de leurs plantes-hôtes, sur la tige de celles-ci ou sur le sol directement -
Document de la Facilité 1 du FISAN : Soutien au Crédit Agricole
Le présent document de stratégie est relatif à la Facilité 1 du FISAN. Cette facilité porte sur un appui public au financement de l’agriculture, via le crédit. Elle vise à développer une politique incitative de financement de l’initiative privée, afin de promouvoir une agriculture plus performante.