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Fédération des coopératives maraîchères du Niger (FCMN-NIYA) : Rapport annuel 2010
Ce document aborde le plan stratégique en terme d’effet induit dans la vie de la FCMN, les contraintes rencontrées les leçons apprises et la suite à donner à travers un processus participatif. -
Plan opérationnel 2011 de la Fédération des coopératives maraîchères du Niger: FCMN-Niya
Le présent document a pour but de contribuer a l’amélioration des conditions de vie des maraîchers par renforcement des capacités et garanti d’un prix numérateur. autour de trois (3) axes majeurs :
- renforcement des capacités organisationnelles,
- renforcement des capacités de production et
- garantie d’un prix rémunérateur. -
Mise en place de champs écoles et production de compost.
Ce document aborde la question de la fertilité des sols, qui constitue une des préoccupations paysannes. Il est donc urgent de restaurer et de régénérer la la fertilité des sols en mettant un accent particulier à la production de compost pour le maraîchage. -
Protégeons nos enfants des pesticides -- Guide visuel d’animation
Ce guide visuel présente comment réduire l’exposition des enfants aux pesticides; comment identifierque les enfants sont exposés aux pesticides, la description des effets négatifs des pesticides sur la santé et pourquoi les enfants sont plus exposés; il aborde aussi ce qu'il faut faire pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides .
Il aide à partager l’information au sein de la communauté pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides. -
Base de données documents PADIP: Liste triée par thème
Cette fiche présente une liste triée par thème de la Base de données documents PADIP. Elle dresse la liste des Documents disponibles en version électronique. -
Capitalisation sur l'expérience du Code rural au Niger ensemble pédagogique pour l'animation de projection-débats
Cet ensemble pédagogique est constitué d’un film
documentaire et d’une série de fiches thématiques. Il contient :
- Un film documentaire , disponible en versions française, anglaise, wolof, dioula, fulfulde et haoussa.
- Une série de 5 vidéos bonus coutes traitant du contexte national d’élaboration du Code Rural, de la loi sur le pastoralisme, du cas particuliers de l’accès aux points d’eau, des différents types de conflits fonciers rencontrés en zone pastorale, et de trois exemples de résolution des conflits fonciers.
- Neuf fiches thématiques rédigées par Clara Jamar en français et en anglais.
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Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Djirataoua: département de Madarounfa -Niger
Cette étude a été initié par le projet USAID/ WAIPRO aborde quatre volets d'activités interconnectées : - 1: Diagnostic comprenant étude générale, analyse participative des contraintes et des opportunités des systèmes irrigués existants.
- 2: élaboration des plans d'intervention, et les mettre en oeuvre sur des systèmes irrigués pilotes;
- 3: Renforcement des capacités, synthèse, communication et diffusion des leçons apprises;
- 4: Promotion de l'eau agricole et de l'irrigation à petite échelle . -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce document décrit la tomate (Lycopersicon esculentum), les itinéraires techniques de sa production et conditionnement au Sénégal et la gestion des ennemis de cette cultures -
Bonnes pratiques agro-sylvo-pastorales d’amélioration durable de la fertilité des sols au Burkina Faso
La gestion de la fertilité des sols est un facteur moteur pour le succès de la production agricole dans les pays du Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS). Aussi de nombreux chercheurs se sont investis depuis des années dans ce domaine d’amélioration de la production agricole. Cependant le constat actuel est que les résultats de ces recherches restent encore faiblement diffusés et difficilement accessibles aux utilisateurs principaux.
Le CILSS avec l’appui de l’Union Européenne a entamé en 2008 « l’Initiative FERSOL», sur la capitalisation des actions d’amélioration durable de la fertilité des sols pour l’aide à la décision au Burkina Faso. Cette initiative s’inscrit dans une logique de développement de la production de connaissances et de renforcement des capacités des acteurs en matière de gestion des ressources naturelles et d'adaptation aux changements climatiques. Elle devrait ainsi contribuer à l’amélioration de la gestion des connaissances, de l’information et au renforcement des capacités des acteurs à travers la production et la mise à disposition des acteurs d‘outils d’information en Gestion Durable de la Fertilité des Sols (GDFS) -
Analyse des contraintes hydrauliques du périmètre irrigue de Daibery (Niger) et mise en place d’un jeu d’indicateurs de performance
Cette étude a été réalisée sur le périmètre irrigué de Daïbéry au Niger dans le cadre du projet WAIPRO. Elle consiste à analyser les contraintes hydrauliques par le biais d’un bilan de fonctionnement hydraulique et d’une mise en place d’un jeu d’indicateurs de performance sur le périmètre. Elle a été basée sur des données collectées sur le terrain et quelques rapports techniques relatifs à ce périmètre. Un état de lieu du périmètre a été réalisé, ainsi que des estimations ont été faites sur les quantités d’eau lâchées au niveau de la station de pompage et les besoins en eau des cultures. -
Le bovin Kouri
Le bovin Kouri est un animal sans bosse, donc un taurin, élevé sur les îles et le littoral du lac Tchad, aux confins de quatre pays, le Cameroun, le Niger, le Nigeria et le Tchad. Il s’agit d’un animal de grande taille, haut sur patte et dont le poids va de 400 à 500 kg chez les femelles et de 500 à 700 kg chez les mâles. La majorité est de couleur blanche, mais certains animaux peuvent être tachetés de rouge. Il se distingue surtout par ses cornes spectaculaires de différentes formes notamment bulbeuses comme cette photo. -
Défi de l'agriculture africaine et mondiale
Cette analyse dresse un tableau sombre ainsi que de défis et potentiels de l' Agriculture africaine et mondiale.
2.4 milliards de plus de personnes à nourrir à 2050
1.2 milliards de plus d‘Africain dans les villes à 2050
16% des terres africaines sont arables, la plus large réserve du monde
79% de la terre arable africaine reste non cultivée
Les prix d‘engrais ont augmenté de 40% en moyenne
3.5 million de plus de tracteurs sont nécessaires pour mettre l’Afrique au même niveau que les autres régions du monde
Les pertes annuelles céréalières d‘après-récolte en Afrique au Sud du Sahara sont estimées à plus de $4 milliards en moyenne et avoisinent la valeur équivalente d‘importation en céréales de la région. -
La dynamique accélérée des koris de la région de Niamey et ses conséquences sur l'ensablement du fleuve Niger
L’Afrique de l’Ouest est soumise depuis quelques décennies à un rapide changement d’usage des sols, lié à la très forte pression démographique. La région de Niamey en particulier, avec de très nombreux oueds exoréiques appelés localement, « koris » participe de cette dynamique. Il semblerait que l’endoréisme recule à l’échelle des koris comme celui de Boubon, Gorou Kirey etc. L’objectif de cette recherche est de mettre en évidence cette évolution et à l’expliquer, ainsi qu’à insérer cette évolution dans le contexte régional, d’un Sahel où l’endoréisme est très répandu. On essaie de montrer la part des responsabilités entre et facteurs anthropiques et climatiques. On utilise pour cela des relevés de terrain ainsi que des études diachroniques. L’accent est mis sur des suivis cartographiques et diachroniques de l’hydro - morphométrie du bassin, des mesures topographiques in situ sont effectuées à l’aide d’une station totale, des prélèvements ponctuels de matières en suspension dans les koris. Ces suivis sont couplés aux mesures de ruissellement et de pertes en terre sur un de ses versants, selon les états de surface les plus représentatifs de la région. -
Le warrantage au Niger : un moyen de financement de l’agriculture et de sécurité alimentaire : cas du village de Dantchandou
L’objectif de cette étude est de montrer comment le warrantage pourrait contribuer au financement de l’agriculture et à la sécurité alimentaire dans un pays à secteur agricole structurellement déficitaire. La méthodologie a consisté à une recherche documentaire, la collecte de données secondaires et des enquêtes et observations sur le terrain. Le choix de la zone d’étude a été guidé par le désir de comprendre la pratique du warrantage par des petits producteurs, composés majoritairement des femmes, dans une zone en situation d’insécurité alimentaire récurrente. L’étude est parvenue à la conclusion que le warrantage ne permet pas un financement significatif de l’agriculture chez des producteurs en déficit de production. Cependant, il apparaît comme un bon moyen de sécurisation de revenu et de responsabilisation des paysans. -
Renforcer les capacités des réseaux d’organisations agricoles par l’analyse de l’évolution du prix des céréales locales au Burkina, Mali et Niger durant la période 2001-2010… et ses incidences sur le warrantage au Niger.
Cette étude analyse l’évolution des prix des céréales au Burkina, au Mali et au Niger afin de contribuer à la détermination de points d’alerte susceptibles d’aider les OP dans la prise de décision. Plus spécifiquement, le document met en cause quelques idées reçues, notamment celle la plus couramment utilisée pour la gestion des stocks céréaliers au Sahel : les prix seraient bas à la récolte pour augmenter jusqu’à la soudure. Partant de cette hypothèse, il est fréquemment recommandé aux OP de stocker à la récolte et de déstocker six ou huit mois plus tard, pour profiter d’une période de vente, soi-disant plus favorable. Ainsi, le système du warrantage qui repose sur ce principe est souvent conseillé aux producteurs comme étant une opportunité de commercialisation. Cependant, les producteurs ne sont pas certains de « gagner » à tous les coups, contrairement à d’autres acteurs. La lecture et une véritable « étude » de ce document sont absolument à conseiller à tous pour sortir des idées toutes faites ou évidentes, et mieux conseiller les producteurs pour une bonne valorisation de leurs récoltes. -
Le warrantage au Niger, pour renforcer la trésorerie des paysans
Le warrantage, ou « crédit stockage », est une technique qui permet aux paysans de mieux valoriser leurs produits agricoles tout en sécurisant le financement rural. Il connaît un franc succès au Niger, où il a été introduit il y a plus de 10 ans. -
Installation des haies vives pour la protection des jardins à Yoreizé koira
Par définition, les haies vives défensives sont composées de buissons, des plantations denses et alignées d’arbres ou d’arbustes à branches nombreuses et impénétrables dans un but de délimitation, de défense ou de protection. Le village de Yoreyzé Koira est situé à une cinquante de kilomètres de Niamey sur la route de Namaro et sur la rive droite du fleuve Niger. La haie vive a été introduite dans la commune rurale de Namaro dans les années 90 par les Japonais à travers un projet financé par Japan International Cooperation Aency (JICA). Ce projet a incité des producteurs à clôturer leurs parcelles de culture maraîchère ou fruitière, et à installer des haies vives sur les dunes pour lutter contre l’érosion éolienne. -
Manuel de Communication pour la Sécurité alimentaire
Ce manuel a été élaboré dans le cadre du Programme CE-FAO « Faire le lien entre l’information et la prise de décision pour améliorer la sécurité alimentaire », mis en œuvre par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et financé par l’Union européenne.
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Options technologiques pour une popularisation de l’agriculture irriguée
Il existe essentiellement trois méthodes d'irrigation : l'irrigation de surface, l'irrigation localisée, l'irrigation par aspersion. Cette note décrit chaque type d'irrigation et détaille la gestion de l'eau à la parcelle. -
Pratiques sylvicoles et culturales dans les parcs agroforestiers suivant un gradient pluviométrique nord-sud dans la région de Maradi au Niger
Une étude sur les pratiques sylvicoles et culturales dans les parcs agroforestiers a été conduite dans trois terroirs villageois de la région de Maradi suivant un gradient pluviométrique nord-sud. Des enquêtes auprès des producteurs et des relevés sur le terrain sont les outils méthodologiques utilisés pour la collecte des données. Les résultats obtenus montrent que la pratique de la régénération naturelle assistée dans les terroirs villageois a révélé qu’elle a duré au moins 10 ans. Elle se pratique par imitation des parents ou des voisins ou est initiée par les projets et les services techniques de vulgarisation. Les raisons qui ont guidé les paysans à protéger et entretenir les arbres sont l’approvisionnement en bois, la fertilisation des sols, l’alimentation du bétail, la pharmacopée traditionnelle et la lutte contre l’érosion. La diversité végétale est beaucoup plus importante dans le terroir villageois de Moulmouchi que dans ceux de Batchaka et Koda. Il ressort également que les espèces à grande valeur agronomique, économique et alimentaire sont préférées par les producteurs. Les différentes opérations sylvicoles utilisées dans les terroirs montrent que les paysans accordent beaucoup d’attention à la protection et la gestion des ligneux dans les champs. -
Capitalisation d’expériences sur le développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée en Afrique de l’Ouest
L’irrigation est considérée comme un moyen d’intensification de l’agriculture. Elle contribue à en augmenter la productivité tout en la sécurisant contre les risques de sécheresse. C’est un outil de lutte contre la pauvreté et la faim qui sévissent de façon endémique en Afrique subsaharienne, et plus particulièrement en Afrique de l’Ouest. Malgré le potentiel disponible et malgré les efforts consentis par les gouvernements de la sous-région pour développer l’irrigation, les résultats sont restés en deçà des attentes. On avait oublié qu’à l’origine, dans la sous-région, l’irrigation était privée, familiale. Elle est mieux maîtrisée à petite échelle. Pour capitaliser toutes ces expériences de développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée, la Banque Mondiale, en collaboration avec l’ARID, la FAO, l’IWMI, l’UE et les ACP, a initié l’étude dont le présent rapport fait la synthèse. L’objectif de l’étude est d’identifier, de caractériser et d’évaluer certaines pratiques (individuelles et collectives) performantes en matière de techniques et de technologies de petite irrigation privée sur la base d’une analyse comparée de ce sous-secteur au Burkina Faso, Mali, Niger et Nigeria. -
Atlas des évolutions des systèmes pastoraux au Sahel, Atlas of Trends in pastoral systems in Sahel
L’élevage pastoral sahélien joue un rôle prépondérant dans l’économie des pays de l’Afrique de l’Ouest. Avec une grande diversité d’espèces élevées, il contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages ruraux et urbains. De par sa nature extensive, l’élevage pastoral est largement dépendant des conditions environnementales. A ce titre les interactions avec l’environnement sont intimes, nombreuses et ambivalentes. En effet, les systèmes d’élevage mobile apparaissent comme la principale activité agricole de valorisation durable d’une ressource naturelle fragile et éparse dans les zones sèches sahéliennes. Malgré ce rôle très important, les systèmes pastoraux se trouvent confrontés à de nombreux défis liés, et notamment, à la marginalisation des populations pastorales et à la compétition croissante avec les autres groupes d’utilisateurs e particulier les agriculteurs pour l’accès aux ressources naturelles (pâturages, points d’eau etc.). Le présent Atlas fait la synthèse des informations disponibles sur les transformations des systèmes pastoraux au Sahel, collectées dans le contexte du SIPSA ou par d’autres initiatives. Partant d’une analyse des besoins en information conduite dans le cadre du SIPSA, l’atlas analyse les grandes tendances de l’élevage pastoral et de son contexte. Au regard des impacts des conditions climatiques sur les économies au Sahel, il apparait indispensable de disposer d’analyse prospective sur les différents secteurs des économies des pays du Sahel. Tel est le mérite de cet atlas, un excellent outil qui permettra la prise de décision fondée sur des bases objectives et assurera l’amélioration certaine de la gouvernance du secteur de l’élevage pastoral sahélien. -
Transfert de technologies dans un contexte des moyens d’existence
Le projet PICS a été mis en œuvre dans le cadre Livelihoods, qui est partie intégrante de la stratégie nationale de différents pays World Vision pour le bien-être des enfants, à travers la sécurisation des ménages. Ce document traite des leçons tirées de la mise en œuvre et l'utilisation hermétique des triples sacs plastiques en Afrique de l'Ouest par World Vision International -
Stratégie nationale et plan d’actions pour la conservation durable des éléphants au Niger
Au Niger, les populations d’éléphants d’Afrique (Loxodonta. africana) estimée entre 1000 et 1100 individus, sont confinées d’une part dans le parc W qu’il partage avec le Bénin et le Burkina et d’autre part dans la partie sud de la réserve de Faune de Tamou et dans le centre- sud du pays (Madarounfa) en partage avec le Nigéria. Les éléphants symbole de puissance et de force, jouent un rôle important dans divers domaines, notamment l’écologie, l’économie, les arts et les cultures. Ils sont reconnus pour leur contribution significative dans le maintien de la physionomie des écosystèmes forestiers et savanicoles et dans la régénération des espèces végétales. Ils constituent également un potentiel important pour le développement du tourisme surtout dans les zones de savanes et dans les clairières des zones forestières. Cependant cette espèce est sujette à plusieurs problèmes liés à sa conservation qui sont, entre autre le braconnage et la diminution de son espace vital ainsi liée particulièrement à la croissance démographique, aux défrichements, aux déboisements, aux sécheresses récurrentes et aux changements climatiques. Ces phénomènes font que l’homme et l’éléphant se partagent le même espace, ce qui entraine des conflits de cohabitation. Les dégâts causés aux cultures, aux greniers, aux bétails et autres infrastructures sans oublier les blessures ou la perte de vies humaines poussent les populations à percevoir l’éléphant comme un fardeau économique et social qui pèse sur eux. La survie à long terme de l’éléphant ne dépendra pas seulement de la science, mais aussi des solutions qui tiennent compte de la dimension politique, économique et sociale. -
Evolution des paysages Sahéliens au cours des six dernières décennies dans la région de Niamey : de la disparition la de brousse tigrée à l'encroûtement de surface des sols.
Au Sahel, l’explosion démographique de ces dernières décennies et les variations climatiques ont provoqué d’importants changements environnementaux. L’objectif de ce travail, est de mesurer les impacts de la pression anthropique sur les écosystèmes dans la région de Niamey au cours des six dernières décennies. L’étude est fondée sur une cartographie diachronique d’une aire de 100 km2 près de Niamey au moyen de photographies aériennes (1950 et 1975) et relevés au GPS (2009). Il est apparu ainsi qu’entre 1950 et 2009, la végétation de la brousse tigrée a été complètement déboisée. Dans les vallées sableuses, les surfaces cultivées ont connu une extension passant de 20.7 % à 69.4 % entre 1950 et 1975. Ceci a favorisé l’emprise des érosions éolienne et hydrique qui ont abouti à une dégradation des terres par encroutements des sols. Celui-ci est à l’origine de la baisse des surfaces cultivées entre 1975 et 2009 (de 69.4 % à 54.4 %). Dans les bas-fonds, la tendance est au comblement du fait d’un taux de sédimentations de plus de 4 cm par an. -
Fiche descriptive Nagode
L’hybride Nagode est une variété à graine jaune, précoce (85 jours), productive (5 à 7 tonnes/ha) qui se comporte bien en sol de vallée et même sur sol dunaire riche en matière organique. La variété présente un feuillage de couleur vert-claire et des soies et anthères de couleur rose-claire. La panicule présente un nombre de ramification relativement élevé. La présence du bourrelet anthocyanique à la base des glumes n’est observée que dans des rares cas. Les épis sont gros, insérés au milieu de la tige et présentent une bonne fermeture des spathes. Du fait des poids des épis à la maturité, les tiges ont tendance à s’incliner à leur base au sol notamment sur sol dunaire si le buttage n’est pas effectué au dernier sarclage. Les graines jaunes présentent au niveau de leur sommet une tache jaunâtre d’albumen farineux. Elles sont insérées en rangées droites sur une rafle blanche, cylindro-conique sans pigmentation anthocyanique. -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
La fertilisation localisée au semis des cultures ou le « microdosage » consiste à mettre, au moment du semis, de petites quantités (doses) d’engrais minéraux appropriés dans les trous de semis d’une culture, communément appelé poquets ; cette technique remplace la pratique de l’épandage (application de l’engrais à la volée ou en ligne) sur toute la superficie d’un champ. Cette méthode peu onéreuse, et particulièrement bien adaptée aux cultures de mil et de sorgho, permet une utilisation plus efficace de l’engrais et une augmentation des rendements agricole de manière durable. -
Interactions entre la variabilité des écotypes de l’oignon (Allium cepa L.) et les facteurs agro-climatiques au Niger
L’oignon est la première culture maraîchère au Niger. La production annuelle est estimée à près de 561.000 tonnes, classant le Niger au deuxième rang des producteurs ouest-africains derrière le Nigeria. Une collecte portant sur des cultivars locaux d’oignon du Niger réalisée en 2008 a été suivie d’une étude de leur interaction avec les facteurs agro-climatiques du Niger. Les méthodes classiques de collecte de matériel végétal (localisation des sites de collecte sur la carte, identification et description des échantillons, historique des écotypes, conditions culturales, etc..) ont été utilisées. L’aspect variétal vis-à-vis des facteurs agroclimatiques des différentes zones de collecte a été mis en évidence. Le travail a permis de réunir 21 écotypes locaux d’oignon comprenant le Violet de Galmi répartis sur toute la zone de collecte. Il a également permis de montrer que certaines caractéristiques variétales comme la couleur des bulbes, le cycle sont liées aux différences agro-climatiques et géomorphologiques des sites de collecte tandis que d’autres se révèlent indifférentes. -
Plan d'actions opérationnel de la filière niébé du Niger
Le Gouvernement du Niger a obtenu de l’Association Internationale de Développement (IDA), le financement du Projet de Développement des Exportations et des Marchés Agro-Sylvo Pastoraux (PRODEX) afin de traduire concrètement un des objectifs de la Stratégie de Développement Rural (SDR) à savoir « favoriser l’accès des producteurs ruraux aux opportunités économiques pour créer les conditions d’une croissance économique durable en milieu rural ». Cela se fera à travers : (1) la structuration des filières et la commercialisation des produits d’exportation ; (ii) le renforcement des capacités, (iii) l’accès au financement pour la commercialisation et l’exportation des produits, et (iv) les infrastructures de mise en marché. Le PRODEX dont l’objectif de développement est centré sur l’augmentation de l’accès des produits agricoles et d’élevage au niveau des marchés locaux, régionaux et internationaux, reprend les enseignements et acquis du Projet de Promotion des Exportations Agro-pastorales (PPEAP) et du Projet de Promotion de l’Irrigation Privée (PIP2). -
La filière niébé au Niger / Les axes d’amélioration proposés dans l’Etude diagnostique sur l’intégration commerciale (EDIC)
Le RECA vous propose un extrait de la partie consacrée à la filière niébé de l’Étude Diagnostique sur l’Intégration Commerciale Niger, Programme du « Cadre Intégré » / La Modernisation du Commerce pendant un Boom Minier. Il s’agit principalement des recommandations de l’étude pour améliorer la compétitivité de la filière niébé. L’initiative dite du « Cadre intégré » a démarré en 1997. Elle est l’oeuvre de la Banque mondiale, de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED), du Centre du commerce international (CCI), du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), du Fonds monétaire international (FMI). Les partenaires au développement bilatéraux et multilatéraux s’y sont associés pour répondre aux besoins des Pays les moins avancés (PMA) en matière de développement du commerce. -
La conservation du niébé : goulot d’étranglement de la filière et innovation technologique
Cette note est tirée d’une communication intitulée « Innover pour développer les marchés : le cas de la conservation du niébé au Burkina Faso ». Les connaissances utilisées dans cette communication proviennent des travaux menés par le CIRAD1 avec la collaboration de l’INERA2 dans le cadre de son partenariat avec le Programme d’Appui au Développement de l’Agriculture du Burkina Faso (PADAB II / 2006‐2011) sur sept filières (niébé, poisson, bétail viande, volaille, karité, gomme arabique, bois énergie) dans trois régions du pays (Est, Centre Est, Sahel). Ce programme est soutenu par la Coopération danoise. -
Dynamique de production et de consommation des cultures vivrières pluviales en Afrique de l’Ouest et en Afrique Centrale
Ces pages sont extraites d’une étude intitulée « Cadre opérationnel d'intervention pour un développement des cultures vivrières pluviales en Afrique de l'Ouest et du Centre / Juillet/ 2010 » réalisée par l’Agence française de Développement (AFD), le Centre de coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD) et le Fonds International de Développement Agricole (FIDA). Il s’agit d’une initiative ayant pour vocation de fournir un cadre commun d’intervention à l’AFD et au FIDA sur les filières vivrières pluviales, dans la zone de l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Plus spécifiquement, ce cadre a pour objectif de définir tous les paramètres devant être réunis simultanément pour un développement efficace et durable des cultures vivrières pluviales. Il a vocation à s’inscrire dans les politiques agricoles régionales définies par l’UEMOA, la CEDEAO et la CEMAC (la PAU, l’ECOWAP et la Stratégie Agricole Commune de la CEMAC) et dans les programmes d’investissement nationaux et régionaux qui les soutiennent. -
Etude/diagnostic sur les technologies d’irrigation dans le sous-secteur de la petite irrigation
Développement petite irrigation initiée et accompagnée par nombreuses techniques et technologies d’irrigation au début années 2000 en Afrique de l' Ouest et dans les pays du CILSS; ces technologies ont aujourd’hui des fortunes diverses. Cinq (5) principales technologies jugées performantes ont été adoptées par les acteurs notamment les irrigants. -
Le triple ensachage pour la conservation du niébé - Un point de situation
Cette note a été rédigée dans le cadre du partenariat entre le RECA et le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), le RECA étant chargé de réaliser une évaluation des technologies éprouvées dans deux régions du Niger et d’identifier les préoccupations des producteurs et de leurs organisations. -
Initiative ''3N'' pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle et le développement agricole durables ''les nigériens nourrissent les nigériens''
Face au déficit chronique des produits vivriers, notamment céréaliers, l’insécurité alimentaire devient de plus en plus inquiétante et la pauvreté gagne chaque jour du terrain dans le monde rural qui comptabilise actuellement 80% des pauvres du pays, le Président de la République et le Gouvernement ont lancé l’initiative 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens ». Le présent document de stratégie est la traduction opérationnelle de l’initiative. L’i3N est un credo et un engagement politiques forts du Président de la République du Niger. Il constitue un axe majeur du Programme du Président de la République pour la renaissance du Niger. Il est bâti sur les acquis de la Stratégie de Développement Rural et s’inscrit dans le processus de mise en œuvre du Plan de Développement Détaillé pour l’Agriculture en Afrique (PDDAA) et de la Politique Agricole Commune de la CEDEAO (ECOWAP) ainsi que la Politique Agricole de l`UEMOA (PAU). L’I3N permettra au Niger d’accélérer l’atteinte des Objectifs du millénaire, notamment l’OMD1 et l’OMD7. Le contexte du Niger se caractérise par le fait que l’économie du pays est dominée par le secteur primaire (45,2% du PIB en 2010) et une étroitesse du secteur secondaire (11,4% du PIB en 2010). Le secteur primaire est essentiellement agropastoral ; il joue un rôle essentiel dans la croissance économique. Entre 2006 et 2010, le PIB du secteur primaire est passé de 817,66 milliards de FCFA à 1021,27 milliards, soit une progression de 25%, contre 20% pour l’ensemble des secteurs (1906,83 milliards en 2006 à 2295,39 milliards en 2010). -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce guide liste les techniques mobilisables pour la production de semences de tomates de qualité -
L'agriculture sénégalaise
L'agriculture sénégalaise est essentiellement pluviale et saisonnière. Elle repose à la fois sur des cultures de rente (arachide coton) et sur des cultures vivrières de subsistance (mil, sorgho,
maïs). Le riz, culture traditionnelle en Casamance, se développe fortement dans la vallée du fleuve Sénégal. -
Rapport national Conférence de Rio + 20
Ce présent rapport porte sur la rencontre décennale, également appelées « Sommets de la Terre », qui offre l’opportunité aux dirigeants mondiaux de se réunir pour définir les moyens de stimuler le développement durable au niveau mondial -
Avant-projet de document de politique nationale en matière de changements climatiques (PNLCC)
Ce présent rapport porte sur L'analyse de la situation en matière de changements climatiques, les actions initiées en réponse aux variabilités et changements climatiques , les objectifs et axes de la Politique Nationale en matière de Changements Climatiques (PNCC) et le dispositif institutionnel de mise en œuvre et de suivi-évaluation -
La politique semencière nationale
Ce rapport porte sur la politique semencière nationale du Niger -
Plan forestier national du Niger (PFN 2012 – 2021)
Le plan forestier national du Niger est le document de référence pour la mise en oeuvre des actions d'aménagement, de reboisement et de protection des massifs forestiers au Niger -
La fertilisation en maraichage biologique
C’est dans les exploitations maraîchères que l’on rencontre les systèmes agricoles les plus intensifs, caractérisés par des successions de cultures rapides sur la même parcelle. La majorité de ces exploitations sont spécialisées, de ce fait la fertilisation est réalisée à partir d’intrants. Les exportations conséquentes et les besoins ponctuels importants de certaines cultures entraînent très souvent l’utilisation d’engrais -
Réduction des pertes post-récolte en Afrique: Basée sur l’expérience du CIRAD
Ce diaporama porte sur la réduction des pertes post-récolte en Afrique -
La production de semences maraîchères
Ce présente fiche technique porte sur La production de semences maraîchères
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Fiche technique de la poudre de Feuilles de Moringa
Cette fiche technique explique comment réaliser et utiliser la poudre de feuilles de Moringa -
La pépinière d’agrumes, manguiers et avocatiers au Sénégal
La présente fiche montre comment réaliser une pépinière d’agrumes, manguiers et avocatiers au Sénégal
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Faire son compost
Ce guide porte sur la fabrication du compost tout en reduisant ses déchets et en nourrissant le sol -
Combien pourrait rapporter une plantation de gommiers dans la région de Diffa ?
Dans le cadre des microprojets mis en place sur financement du Fonds d’Appui Régional du Programme d’Appui au Secteur Rural, deux groupements de producteurs de la commune de Goudoumaria ont obtenu un financement pour la réhabilitation / plantation de 10 hectares de gommeraie (Acacia senegal), chacun. Le dossier de financement précise que chaque plantation de 10 ha dégagera un revenu de 350.000 F.CFA la cinquième année et 700.000 F.CFA à partir de la sixième année. -
La démarche liée à l’origine du Violet de Galmi, Niger
L’oignon « Violet de Galmi » est issu d’une innovation technique en 1975 et c’est depuis lors qu’il porte véritablement ce « nom ». Cependant, il convient de préciser que la relation entre les populations locales et leur ressource ne date pas de cette période. Elle remonte à trois siècles d’histoire commune, dont les fondements se rattachent au commerce caravanier. Ce dernier serait selon DAVID Olivier (1999), le vecteur de l’introduction de l’oignon dans l’espace nigérien. Les oignons violets de la Maggia dont est issu la souche du violet de Galmi étaient restés peu connus jusqu’aux travaux de l’IRAT, dont la publication à travers le monde leur a fait l’écho d’une publicité2. C’est ainsi que les meilleurs d’entre eux à savoir : le Violet de Galmi, le Blanc de Galmi ainsi que le Blanc de Soumarana seront devenus des variétés connues. -
Atelier de capitalisation d'expériences sur le développement de la petite irrigation privée à haute valeur ajoutée en Afrique de l'ouest: Présentation des expériences de la petite irrigation au Bénin
Capitalisation des expériences du projet de la petite irrigation au Bénin -
Caractérisation des stratégies d'adaptation au changement climatique en agriculture paysanne
Etude de capitalisation réalisée sur les terrains de coopération d’AVSF -
Le dispositif d’appui / conseil aux producteurs et productrices de Mooriben
Cette note est réalisée à partir des documents fournis par la Fédération des Unions de Groupements Paysans du Niger - Mooriben. -
Le traitement de la paille à l’urée Cas de la Région de Diffa
Cette note a été rédigée dans le cadre du partenariat entre le RECA et le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), le RECA étant chargé de réaliser une évaluation des technologies éprouvées dans deux régions du Niger et d’identifier les préoccupations des producteurs et de leurs organisations. Elle est basée sur des entretiens menés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa avec des membres des Services techniques, des éleveurs, des OP et des projets, et complétée par la lecture de documents. Le RECA ne prétend pas avoir fait le tour de la question, ni vu toutes les expériences, ni rencontré tous les acteurs. Les observations et analyses sont provisoires. Cette note sera progressivement complétée et améliorée. Les apports et compléments sont souhaités afin d’enrichir ce travail de capitalisation sur la situation des technologies et techniques générées et/ou diffusées au Niger par l’ensemble des acteurs. -
Etude sur les possibilités de développer la culture du blé et du maïs dans la région d'Agadez - Communes de Tchirozérine, Dabaga et Agadez
Le défi du développement ou de l’intensification des cultures du blé et maïs dans le département de Tchirozérine pourrait être relevé à travers la mise en œuvre des priorités ci- après :
-Intensification de la production du blé et maïs à travers l’introduction des nouvelles variétés performantes,
-Structuration de la commercialisation du blé et du maïs par la création d’un pôle de commercialisation
-Soutien aux initiatives de transformation du blé et maïs -
Etat des lieux de la riziculture : Cas du Niger
Afin de déterminer de façon spécifique les activités et le budget du projet de chacun des pays, il est apparu nécessaire de recruter un consultant national pour faire l’état des lieux de la riziculture, dégager les insuffisances au niveau de ce secteur et les axes prioritaires.
Le présent document représente donc l’état des lieux de la riziculture au Niger et s’articule autour de 12 principaux points -
Au Sénégal, des pompes à pédales pour l'irrigation des cultures
Au Sénégal, l'USAID encourage les producteurs agricoles à utiliser les pompes à pédales fiables et moins chères pour l'irrigation des cultures maraichères. Cette initiative a permis également le développement du partenariat avec les artisans locaux pour la fabrication des pompes. -
AVSF - Réponses paysannes aux changements climatiques
Les paysans : premières victimes du changement climatique.
Le réseau VSF Europa lance une campagne européenne sur le petit élevage face au changement climatique.
Ne pas confondre [petits] éleveurs et [gros] pollueurs
Selon le rapport mondial 2011 sur l'élevage de la FAO, 120 millions de personnes dépendent de leur bétail pour assurer leur sécurité alimentaire. A l'opposé d'une agriculture intensive, des centaines de millions de petits producteurs dans le monde luttent contre le réchauffement climatique et en sont de fait les premières victimes.
La principale cause du changement climatique est l'émission de gaz à effet de serre.
Hors, l'activité d'élevage dans son ensemble représente 18 % de ces émissions de gaz. Pourtant, la contribution des petits élevages ne doit pas être confondue avec celle des élevages intensifs, grands consommateurs d'énergie fossiles.
Un réseau européen au service d'une cause mondiale
AVSF appartient au réseau VSF Europa qui soutient le petit l'élevage pour lutter contre la pauvreté et la malnutrition. Cette vidéo a été réalisée pour une campagne européenne de sensibilisation sur le rôle déterminant de l'élevage paysan pour répondre aux impacts du changement climatique. Elle a été tournée à Madagascar, en Iran et au Sud Soudan en 2011 pour mieux comprendre les stratégies d'adaptation qu'ont développées les éleveurs paysans.
Pour suivre cette campagne : www.smallscalefarming.org -
Revue du secteur de l'élevage au Niger
Le sous-secteur de l’élevage représente donc un atout majeur pour le pays pour contribuer davantage à la lutte contre la pauvreté, l’insécurité alimentaire à travers notamment l’augmentation des revenus et la création d’emplois en faveur des jeunes scolarisés ou non actuellement sans perspectives. Toutefois, pour tirer parti des opportunités actuelles du marché, il est nécessaire de
comprendre la gamme de facteurs (économiques, institutionnels, commerciaux, législatifs, technologiques et sociaux) qui affectent le secteur de l’élevage au Niger. -
Les productrices maraîchères de la commune Rurale de Tondikiwindi (Niger) s’adaptent à l’adversité climatique
La campagne agricole 2011-2012 au niveau national en général et régional en particulier a été caractérisée par un déficit céréalier qui a conduit le gouvernement nigérien à élaborer un plan de soutien aux populations vulnérables et à demander l’appui des différents partenaires en vue d’y faire face. -
Ressources en eau dans la région de Tillabéri (Niger) - Potentiel de mise en valeur par l’agriculture irriguée
Le Sahel sub-saharien dispose de ressources en eau considérables, essentiellement portées par de grands systèmes aquifères régionaux (aquifères du Sénégal, de Taoudenni au Mali, des Iullemmeden au Niger, du Tchad. Larégion de Tillabéri au sud-ouest du Niger présente des caractéristiques favorables à l’irrigation : en eau de surface tout d’abord, avec des eaux de surface mobilisables le long des koris (ou vallées sableuses) et des affluents du fleuve Niger aux débits importants. -
Techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel
Techniques de maraîchage. gestion des exploiataions maraîchères. fiches techniques de production des cultures maraîchères -
La tarière manuelle
Manuel de formation pour le forage de faible profondeur à la tarière manuelle : les types de tarière et le technique de fonçage. les différents outils nécessaires et les technique de mise en eau. -
Fertilisation des Plantes à Parfum et Plantes Aromatiques
Les plantes à parfum (PàP) et les plantes aromatiques (PA) biologiques représentent en 2011 un peu plus de 1 800 hectares sur la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
La majorité des plantes à parfum et plantes aromatiques est cultivée dans les Alpes de Haute-Provence et le Vaucluse. -
L’agroécologie en pratiques
Le présent guide présente des pratiques agroécologiques -
Biocontrôle de l'acarien rouge en verger de pommiers
Cette fiche technique présente plusieurs options pour assurer le contrôle de l'acarien rouge en arboriculture fruitière, sous production biologique -
Les Filets Alt’Carpo
Ce présent guide porte sur Alt’Carpo, une méthode de protection alternative contre le carpocapse basée sur l’utilisation de filets qui établissent une barrière physique autour des arbres. -
Les micro-organismes efficaces
Compilation de documents et témoignages cubains sur le fonctionnement, la production artisanale et l'usage de microorganismes efficaces en milieu paysan -
Fertilisation en arboriculture
En cultures pérennes et plus particulièrement en arboriculture, on recherche d’abord à maintenir un milieu biologiquement actif avec un équilibre sol/plante garantissant une croissance puis une fructification optimale. Les vergers n’exportent que peu d’éléments minéraux comparativement aux cultures annuelles, seuls les besoins en potassium sont élevés. -
Les fiches "matière organique"
Ces fiches sont destinées aux conseillers techniques et animateurs ayant besoin de références techniques sur les amendements organiques :
- Quel est le rôle des matières organiques dans le sol ?
- Pourquoi et comment les utiliser ?
- Auprès de quel fournisseur s’approvisionner ?
- Quelles sont les contraintes réglementaires de la
fertilisation biologique ?
- Comment pratiquer le compostage ? -
L'élevage de poissons en rizières
La présente étude entend fournir une synthèse des informations disponibles et souligner le rôle important que l’aquaculture de systèmes d’élevage intégrés à la riziculture peut jouer en vue d’atteindre une situation de sécurité alimentaire et de réduire la pauvreté. -
Guide de production des semences de riz
Ce guide pratique a pour but d’appuyer les groupes d’agriculteurs producteurs de semences de riz à améliorer la qualité des semences qu’ils vont produire. Il se veut une contribution à l’amélioration de la production rizicole au Mali. -
Champ école paysan
Présentation du concept de champ-école paysan -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
Fiche d'information sur l'application de microdoses d'engrais -
Script radio : Deuxième épisode : Microdose ou la fertilisation localisée au moment des semis des cultures
Nous sommes à l’approche de la campagne hivernale. Grâce aux revenus obtenus à travers les opérations de warrantage conduites après chaque campagne par leurs organisations paysannes, de nombreux producteurs et productrices s’approvisionnent désormais en engrais à la boutique d’intrants. Suite à des actions de développement visant à une utilisation rationnelle des engrais, les producteurs et productrices l’utilisent dans leurs champs pour améliorer le rendement des différentes spéculations qu’ils cultivent. Dans la plupart des cas, les cultures au stade de levée présentent un état végétatif agréable à voir -
La production de semences maraîchères
Pour réussir une culture semencière, les techniques culturales préconisées sont d’abord celles qui permettent d’optimiser le rendement d’une culture destinée à la consommation. En effet, la production de semences sur une plante ne peut être maximisée que si celle-ci a une croissance vigoureuse, un développement normal,
une floraison abondante, une fructification maximale et un état sanitaire parfait. -
La Production et Protection Intégrées appliquée aux cultures maraîchères en Afrique soudano-sahélienne
Ce document est destiné aux ingénieurs agronomes et aux vulgarisateurs. Il propose une stratégie pour la production de légumes « sains » afin de les guider vers la constitution de protocoles de cultures ou de référentiels techniques qui permettraient de donner aux maraîchers les connaissances pour produire des légumes bénéficiant d’un label assurant des produits de qualité. -
La culture du haricot nain au Sénégal
Ce guide synthétise les connaissances acquises sur la culture du haricot nain au Sénégal -
L’élevage ovin D’man en pratiques
Le guide « l’élevage ovin D’man en pratiques » est le résultat d’un travail de capitalisation de la démarche et des pratiques mises en oeuvre dans le cadre de notre collaboration avec AGRISUD. Il a pour objectif de partager l’expérience avec nos autres partenaires pour une mise en cohérence de nos interventions au profit des populations. Je ne doute pas de son utilité pour tous ! -
La culture du papayer au Sénégal
Ce rapport présente différents éléments de l'itinéraire technique du papayer -
Les pépinière d’agrumes, de manguiers et d'avocatiers au Sénégal
La pépinière est le lieu de production des plants qui constitueront le matériel végétal utilisé pour la création des futurs vergers. Du choix de ce matériel, des soins apportés à son développement pendant son séjour en pépinière, de la qualité des plants produits, dépendront en grande partie la longévité et la rentabilité des vergers. Une pépinière ne s’improvise pas et se doit de sortir des plants élite. -
La culture des agrumes au Sénégal
Description d'itinéraires techniques pour la culture des agrumes au Sénégal -
Agriculture du carbone : Couverts végétaux, Techniques superficielles, Agriculture Biologique et Agroforesterie
Synthèse des deux journées de rencontre et d’échanges entre agriculteurs du Sud-Ouest de la France -
Le citrus greening : détection et moyens de lutte envisageables
Le Citrus Greening ou Huanglongbing est causé par Candidatus Liberibacter, une 'bactérie' du Phloème. La maladie fut détectée pour la première fois en Guadeloupe en avril 2012. Cette maladie est mortelle pour les agrumes et aucun traitement n’existe. Elle est transmise par un insecte vecteur, le psylle (Diaphorinia citri) qui s’attaque aux jeunes pousses. -
Guide de reconnaissance des insectes et acariens des cultures maraîchères, fruitières et vivrières de Polynésie française
Ce guide présente les principaux insectes et acariens rencontrés sur les cultures maraîchères, fruitières et vivrières de Polynésie française. Il fournit des informations pour une reconnaissance visuelle des ravageurs ( = nuisibles, qui causent les dégâts) et des auxiliaires ( = utiles, qui tuent les ravageurs) -
Formation en gestion d’entreprises associatives rurales en agroalimentaire - Version adaptée pour l’Afrique francophone. Manuel de renforcement des capacités – Guide du facilitateur
L’objectif de ce guide est de faciliter la planification et la mise en oeuvre des sessions de formation. Il fait partie du cours de Gestion d’entreprises associatives rurales en agroalimentaire et a été conçu pour les facilitateurs qui possèdent des connaissances et une expérience en ce qui concerne les aspects techniques de la formation, mais qui n’ont pas forcément de compétences pédagogiques et qui n’ont pas d’expérience leur permettant de faciliter le processus d’enseignement apprentissage. -
Les micro-jardins du Sénégal
Les micro-jardins sont de petits jardins adaptés aux villes et en particulier aux quartiers avec une haute densité de population sans espace autour des habitations. Les micro-jardins permettent aux familles à faibles revenus de produire à la maison des légumes et divers condiments pour enrichir le repas en vitamines et oligoéléments essentiels pour la santé. La technologie des micro-jardins est simple et peu coûteuse et tout le monde peut cultiver les micro-jardins car ils ne requièrent que peu d’efforts physiques. -
Stratégie de gestion des risques de catastrophe en Afrique de l’Ouest et au Sahel | FAO (2011 -2013)
L’objectif général de cette stratégie est de renforcer la résilience des communautés et de réduire leur vulnérabilité aux différents chocs afin que les pays de la sous-région assurent leur sécurité alimentaire et nutritionnelle et se concentrent sur le développement de systèmes alimentaires et agricoles durables. Des objectifs spécifiques et des activités prioritaires ont été déterminés sur la base des vulnérabilités et défis identifiés. Cette stratégie sous-régionale couvre les pays suivants: Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Côte d’Ivoire, Ghana, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Sénégal, la Sierra Leone, le Tchad, le Togo. -
Ceratitis capitata
ressource technique sur la reconnaissance et la lutte contre ceratitis capitata. -
Reconnaissance des ravageurs des cultures
La réédition suivante a pour objectif de fournir des exemples de méthodes
de luttes alternatives contre les ravageurs des cultures :
• Itinéraires techniques et méthodes culturales adaptées
• Mise en place d’une biodiversité fonctionnelle favorable à la
présence d’auxiliaires
• Traitements avec des produits homologués en bio
En règle générale, il faut retenir que plus la plante sera vigoureuse au
départ moins elle sera sensible aux ravageurs.
Cela signifie :
• de bonnes conditions lors du semis pour assurer un démarrage
rapide
• un bon fonctionnement du sol (vie du sol et fertilité)
• pas de déséquilibre favorisant le développement d’un ravageur -
Growing and processing moringa leaves
Guide technique pour la culture du moringa -
Diagnostic organisationnel et institutionnel des coopératives des sections de Diffa, Niamey et Zinder membres de la FCMN Niya
Avec son ambition de devenir une structure suffisamment légitime et représentative des maraîchers du Niger, la FCMN reste ouverte à tous les maraîchers organises en coopérative. Du coût, le nombre de membres s'accroît ainsi que les services à rendre, ce qui demande une stratégie de mobilisation de ressources conséquentes au risque pour la FCMN de se voir à terme critiquer par ses membres qui ne verront pas des appuis à très court terme.
Pour la conduite de cette vision, la FCMN a besoin de connaître les forces et faiblesses de ses organisation membres, afin d'élaborer un plan stratégique de développement durable prenant en compte toute les préoccupations de ses membres. Une analyse diagnostique de chaque coopérative de la FCMN est alors nécessaire pour l'aider à mieux définir et conduire sa politique et à promouvoir ainsi que son développement. -
Plan d’opérations de Mooriben
En juillet 2009, Mooriben a lancé un processus participatif d’élaboration d’un plan stratégique pluriannuel qui a bénéficié de l’appui technique et financier conjoint
d’Agriterra et d’Oxfam Novib. Le processus a enregistré la participation des cadres du Secrétariat exécutif, des élus de la Fédération et des animateurs/trices et élus des unions ainsi que des membres des comités de gestion spécifiques. L’équipe mise en place au niveau de chaque union pour conduire l’analyse- diagnostic était composée d’une personne ressource, d’un cadre de Mooriben et d’un animateur et une animatrice de l’union. La supervision était assurée par le consultant principal et le Secrétaire exécutif appuyé d’une personne ressource internationale mise à disposition par Agriterra. -
Développement des cultures irriguées : Rôle des organisations paysannes et modalités d’appui à la petite irrigation familiale
Sur la base des expériences acquises par les organisations paysannes partenaires du PADIP, cet article présente les différents instruments et/ou stratégies d’intervention mises en oeuvre en matière d’appui au développement de la petite irrigation familiale au Niger. Il vise ainsi à établir un état des lieux des actions réalisées en mettant en évidence les contraintes qui continuent à peser fortement sur les petits producteurs et qui limitent considérablement leurs capacités à mettre en valeur les ressources en eau existantes et à tirer pleinement avantage des cultures de contre-saison. -
Dynamiques de l’irrigation à petite échelle dans un contexte de fortes contraintes: Le cas du Dallol Bosso au Niger
Depuis le sommet de l’Union africaine sur l’eau et l’agriculture, qui s’est tenu en Libye au mois de décembre 2009, la valorisation du potentiel d’irrigation en Afrique est devenue l’un des principaux objectifs pour le continent africain ainsi que les grandes organisations internationales.
Si l’efficacité de l’irrigation n’est plus à prouver, force est de constater que celle-ci peine à se développer au Niger malgré un potentiel important. Le pays utilise moins de 5 % de ses réserves disponibles en eau pour l’irrigation, et n’a que 7 % de ses terres arables irrigués. Et pourtant, le défi de l’irrigation est de taille : produire plus, tout en permettant une gestion plus rationnelle des ressources naturelles. -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Galmi (Département de Konni - NIGER)
Le Niger est un pays sahélien, situé en Afrique de l’ouest. Il couvre une superficie de 1 267 000 km² dont seulement 12% sont aptes à l’agriculture. C’est un pays qui se caractérise par des conditions climatiques des plus défavorables, avec une pluviométrie faible et très souvent mal répartie dans le temps et dans l’espace. De plus les sols sont pauvres et soumis à une dégradation continue. La conjonction de tous ces phénomènes fait du Niger un pays chroniquement déficitaire au point de vue alimentaire. -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de djirataoua
(Département de Madarounfa - Niger)
Le diagnostic du périmètre hydro-agricole de Djirataoua fait ressortir une panoplie de problèmes aussi bien techniques (hydraulique, agronomique) qu’organisationnels (gestion, finance).
Les producteurs ont identifié puis hiérarchisé trois principaux problèmes ; ce sont :
- L’insuffisance d’eau sur le périmètre : la faible productivité des forages a conduit à l’abandon de parcelles (une réduction de 14 à 70% des surfaces cultivées, selon les GMP) ;
- L’absence de tour d’eau qui conduit à une utilisation anarchique de l’eau et à une facture énergétique très onéreuse qui représente 78,5% des charges de production ;
- La faiblesse des rendements des cultures maraîchères due à la qualité des semences disponibles.
Sur la base de ces trois problèmes qui limitent les performances sur le périmètre ; notamment la production globale et le revenu du producteur, le projet doit mettre en oeuvre un plan d’action permettant d’améliorer ces performances à travers un projet pilote qui s’intéresserait à 4 Groupements Mutualistes de Producteurs (GMP) : GN01, GS02, KM13 et RA09 répartis dans les 4 coopératives. -
Avant projet de loi relative aux semences d'origines végétales
Agriculteur-multiplicateur: La catégorie d'agriculteurs spécialisés dans la multiplication des semences
Allogamie: le monde fécondation croisée ou le deux gamètes proviennent deux individus différents -
Initiative "3N" pour la sécurité alimentaire et le développement agricole durable "Les nigériens nourrissent les nigériens" . Cadre stratégique et coût estimatif des programmes de l'initiative pour la période 2012-2015
Face au déficit chronique des produits vivrières notamment céréaliers insécurité alimentaire devient de plus en plus inquiétante et la pauvreté gagne chaque jour du terrain dans le monde rural qui comptabilise actuellement 80% des pauvres du Niger, le Président de la république et le gouvernement ont lancé l’initiative "3N". Le présent document de stratégie est la traduction opérationnelle de l'initiative. -
Etude d'avant projet détaille et élaboration du dossier d'appel d'offres dans les régions de maradi,tahoua et zinder volume du programme prioritaire
Suite à une procédure de pré-qualification,la direction générale du génie rural relevant du ministère de l'agriculture du niger,représentée par le projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de maradi,tahoua et zinder (PMERZA-MTZ,désigne ci-aprés par "client"), a invité , le 07/02/2012, studi international à lui soumettre une proposition technique et financière pour "Etude d'Avant-projet détaille (ADP) et élaboration du dossier d'appel d'offres (DAO) dans les régions de la maradi,tahoua et zin der -
Rapport national sur le progrès vers l'atteinte des objectifs du millénaire pour le développement
Le texte fondateur des objectifs du millénaire pour le développement est la déclaration du millénaire adoptée le 8 septembre 2000,lors de l’ouverture de la 55éme session de l'assemblée générale des Nations Unies. -
Étude d’avant projet et detaillé ( APD ) et élaboration du dossier d'appel d'offres (DOA) dans les régions de Maradi Zinder et Tahoua
Suite à une procédure de pré-qualification, la Direction Générale du Génie Rural relevant du Ministère
de l’Agriculture du Niger, représentée par le Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de
la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERZA-MTZ, désigné ci-après
par "Client"), a invité, le 07/02/2012, STUDI International à lui soumettre une proposition technique et
financière pour une " Etude d'Avant-Projet Détaillé (APD) et élaboration du Dossier d'Appel d'Offres
(DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder ", financé par GAFSP - FAD. Pour cet appel
d'offres restreint, six Consultants ou groupements de Consultants ont été invités. -
Plan de développement économique et social
Avec le présent plan de développement économique et social ( PDES) 2012-2015 ,le Niger renoue véritablement avec l'exercice de planification économique après plusieurs décennies d'affaiblissement de la fonction de planification -
Étude d'avant projet détaillé (APD) et élaboration du dossier d'appel d'offre dans les régions de Maradi Tahoua et Zinder
Suite à une procédure de pré-qualification, la Direction Générale du Génie Rural relevant du Ministère de l’Agriculture du Niger, représentée par le Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERZA-MTZ, désigné ci-après par "Client"), a invité, le 07/02/2012, STUDI International à lui soumettre une proposition technique et financière pour une " Etude d'Avant-Projet Détaillé (APD) et élaboration du Dossier d'Appel d'Offres (DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder ", financé par GAFSP - FAD. Pour cet appel d'offres restreint, six Consultants ou groupements de Consultants ont été invités. -
Plan de développement économique et social ( PDES ) 2012-2015 plan d'action prioritaire
Le gouvernement du Niger a adopté le 1er août 2012, le plan de développement économique et social 2012-2015.dans le cadre des modalités de sa mise en oeuvre,il est prévu l'élaboration d'un plan d'action prioritaire. -
Plan de développement économique et social (PDES) 2012-2015 cadre de mesure des résultats stratégiques
Comme indique dans le document du PDES, son dispositif de suivi et évaluation s'inspire des acquis et des enseignements tirés de la mise en œuvre de ceux de la SDRP et des stratégies sectorielles. -
Étude d'avant projet détaillé (APD) et élaboration du dossier d'appel d'offre (DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder:Phase 2: Etudes APD /DAO
Volume 3 – APD/DAO du programme prioritaire de Zinder
Rapport APDSuite à une procédure de pré-qualification, la Direction Générale du Génie Rural relevant du Ministère de l’Agriculture du Niger, représentée par le Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERZA-MTZ, désigné ci-après par "Client"), a invité, le 07/02/2012, STUDI International à lui soumettre une proposition technique et financière pour une " Etude d'Avant-Projet Détaillé (APD) et élaboration du Dossier d'Appel d'Offres(DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder ", financé par GAFSP - FAD. Pour cet appel d'offres restreint, six Consultants ou groupements de Consultants ont été invités. -
Plan de développement économique et social 2012-2015 : plaquette de présentation
Les choix stratégiques pour le Niger ,tels qu'exprimés par les plus hautes autorités nationales,visent à concilier les impératifs de court terme-consistant en la recherche de solutions aux préoccupations urgentes-et la nécessité d’élaborer et mettre en oeuvre une stratégie à moyen terme permettant d'optimiser la gestion des ressources naturelles et d'assurer un développement économique et social inclusif équilibre,équitable et durable -
Synthèse du cadre stratégique et coût indication des programmes pour la période 2012-2015
D’importantes ressources ont été investies au Niger dans le secteur agricole de l’Indépendance à nos jours. Nonobstant ces investissements, les déficits des productions céréalières et fourragères persistent, soumettant les populations et leur cheptel à une insécurité alimentaire et nutritionnelle de plus en plus fréquente (2005, 2009 et 2011). L’insécurité alimentaire et nutritionnelle chronique touche en moyenne 11 à 25% de la population dont particulièrement 40% des enfants de moins de 5 ans -
Guide technique d’une chaîne de recyclage des sachets plastiques dans les pays en développement - Projet de Kinshasa (RDC). Tome 1 : description de la filière
Ce guide technique a été réalisé par Ingénieurs sans Frontières Belgique et Umoja Développement
Durable RDC, en partenariat avec l’Union Européenne dans le cadre du contrat « Appui au
développement d’une filière de recyclage de déchets plastiques dans les communes de Lemba, Ngaba et Makala à Kinshasa-RDC » sous la subvention ONG-PVD/2005/113-506.
Kinshasa compte environ 8 millions d’habitants. Les pillages, la guerre et la désorganisation de l’état ont causé l’effondrement des activités productives et entraîné une misère dramatique de la population. Les sachets, petits et grands, y sont utilisés comme partout de façon pléthorique: on y met farine, eau, huiles, détergents, conserves, légumes, etc… Mais comme partout, ils sont jetables : millions de sachets qui ne disparaissent jamais, envahissent tout, créant un impact négatif important et parfois catastrophique… -
Cahier du formateur «Réparation et entretien de la petite motopompe»
(entretien courant)
Conscient de la valeur du potentiel de la petite irrigation en tant que vecteur du développement du secteur économique rural, l’Etat nigérien a mis en place des politiques qui ont favorisé l’émergence des initiatives prometteuses de prestations de services privés (services conseils, approvisionnement en intrants, fabrication et réparation des pompes, crédit) à côté de celle joué par les structures étatiques mises en place. La priorisation du développement de toutes les formes d’irrigation est aujourd’hui considérée comme un moyen pour accroître la résilience des producteurs agricoles ruraux et renforcer la stabilité économique locale et nationale, malgré la faiblesse observée des résultats en termes d’appropriation des technologies et d’autonomisation des producteurs. -
Cahier du formateur
«Entretien périodique planifié » (destiné aux producteurs)Conscient de la valeur du potentiel de la petite irrigation en tant que vecteur du développement du secteur économique rural, l’Etat nigérien a mis en place des politiques qui ont favorisé l’émergence des initiatives prometteuses de prestations de services privés (services conseils, approvisionnement en intrants, fabrication et réparation des pompes, crédit) à côté de celle joué par les structures étatiques mises en place. La priorisation du développement de toutes les formes d’irrigation est aujourd’hui considérée comme un moyen pour accroître la résilience des producteurs agricoles ruraux et renforcer la stabilité économique locale et nationale, malgré la faiblesse observée des résultats en termes d’appropriation des technologies et d’autonomisation des producteurs. -
Projet de valorisation des retenues d'eau et d'auto-promotion des communautes locales au sahel
La superficie du territoire de la république du niger est d'environ 1.260.000m2 ( 3,5 pls grande que celle du japon dont près de 65% est situé dans le désert saharien. -
Forum national sur l'agriculture
Le niger est un pays sahélien et enclavé.Il couvre une superficie de 1267000km2 avec une population d'environ 15 millions de personnes qui vivent essentiellement des productions rurales. -
Le mystère du criquet pèlerin
Historique sur le criquet pèlerin
Recherche sur la prolifération des criquets -
Rongeurs urbains et invasion biologique dans le sud ouest du Niger : écologie des communautés et génétique des populations
Les invasions biologiques semblent pouvoir suivre des modalités et des dynamiques
spatio-temporelles extrêmement variées. De très nombreux cas de figure sont possibles dans
la nature : ils dépendent de multiples paramètres géographiques, historiques,
environnementaux et évolutifs qui interagissent et qui, de plus, varient au cours des
différentes phases de l’invasion (Facon et al., 2006). Néanmoins, Facon et al. (2006)
proposent de classifier ces différents scénarios d’invasion biologique en trois catégories
théoriques (et extrêmes) principales, basées sur leprocessus à l’origine de l’invasion (voir
aussi Wilson et al., 2009) : -
Pratiques pour une production durable : lutter contre l'érosion des sols 1
L'érosion est un phénomène naturel qui peut avoir des effets bénéfiques comme le dépôt d'alluvions fertiles-et des effets nuisibles. -
Guide de bonnes pratiques phytosanitaires
Le succés de l'agriculture biologique dépend de la mise en oeuvre d'une approche intégrée de lutte contre les ravageurs et les maladies,basée en grande partie sur un ensemble de stratégies préventives fondamentales visant à réduire au minimum la probabilité et la gravité des attaques. -
La culture du Guar se développe au Niger
Une plante tolérante à la sécheresse et même qui ne bien pousse que dans les zones arides et semi-arides. Une plante qui aime les sols sableux -
Rapport final: Projet de réhabilitation des abattoirs frigorifiques de Maradi, Zinder et Tahoua
Pour rendre opérationnelle et atteindre les objectifs de développement durable le Niger a élaboré plusieurs politique et programmes sectoriels de développement -
Principes directeurs pour l’achat de pesticides utilisés en santé publique
L’acquisition de pesticides est une activité hautement spécialisée et complexe qui suppose une expertise afin de garantir la rapidité, l’efficacité et la rentabilité de l’achat de pesticides de qualité appropriée, d’une manière équitable et transparente. Elle doit également être encadrée par des politiques nationales et des principes directeurs comportant des procédures claires et transparentes, s’appuyant sur des dispositions juridiques et sur des contrôles. De grandes quantités de pesticides sont achetées chaque année dans le cadre d’appels d’offres nationaux et internationaux. On estime qu’en moyenne 4429 tonnes de substance active de la famille des organochlorés, 1375 tonnes d’organophosphorés, 30 tonnes de carbamates et 414 tonnes de pyréthrinoïdes ont été utilisées chaque année pour lutter contre des vecteurs de maladies d’importance mondiale durant la période 2000–2009 dans les six régions de l’OMS (1). Les programmes de pulvérisation intradomiciliaire à effet rémanent pour lutter contre les vecteurs du paludisme en Afrique ont pris une ampleur significative ces dernières années : le nombre de personnes protégées en Afrique sub-saharienne est passé de 13 millions en 2005 à 75 millions en 2009. Par ailleurs, à la fi n 2010, près de 298 millions de moustiquaires à imprégnation durable ont été distribuées dans la Région africaine pour prévenir le paludisme. -
Évaluation des Outils pour le Contrôle des Aleurodes en Europe
La tomate est une des cultures les plus répandues au monde. En 2005, l’Union Européenne (EU) était le deuxième plus grand producteur (derrière la Chine) avec une
production annuelle de 17 millions de tonnes (FAOSTAT, 2007). En 2005, les Européens ont consommé 15 millions de tonnes de tomates fraîches, dont 90% produites dans l’UE. En 2004, les données publiées dans un rapport Européen sur les
résidus de pesticides dans les fruits et légumes ont montré que 1% des échantillons
de tomates dépassent les Limites Maximales de Résidus (LMR). Le processus de
biodégradation des pesticides est plus long au niveau du sol qu’au niveau des cultures. -
Gestion intégrée des nuisibles en production maraîchère : Guide pour les agents de vulgarisation en Afrique de l’Ouest
Très souvent, les agents de vulgarisation ne connaissent pas la cause des problèmes communs des nuisibles dans les cultures. Les problèmes de nuisibles surgissent généralement quand les processus biologiques, écologiques et sociologiques qui soutiennent l’agriculture sont perturbés.
Ce guide aide à pallier ce manque d’information. Il s’agit là de l’une des nombreuses mesures de l’Institut international d’agriculture tropicale (IITA) pour permettre aux agents de vulgarisation de développer et d’utiliser les technologies. Ce guide porte avant tout sur l’identification correcte et sur la meilleure compréhension de la biodiversité dans le développement et dans l’application des options de gestion intégrée des nuisibles (GIN) contre les nuisibles des légumes. La GIN est une approche à forte concentration de savoir qui a pour but d’augmenter la profitabilité des systèmes agricoles tout en réduisant au minimum les menaces pour la santé humaine et l’environnement.
Les exemples spécifiques dans ce guide portent sur le Bénin, mais les méthodologies et les informations générales s’appliquent à d’autres sites de production maraîchère en Afrique de l’Ouest. -
Observations sur les pratiques des producteurs en matière de protection phytosanitaire du poivron
Cette note rassemble les observations ponctuelles, effectuées par les techniciens et des élus de la Chambre d’Agriculture de Diffa au cours de visites des parcelles de poivron et d’entretiens avec des producteurs. Il ne s’agit donc pas d’une enquête exhaustive. Le contenu de cette note devra être confirmé et complété. Le poivron doit représenter 80% des cultures irriguées de la vallée de la Komadougou qui traverse 5 communes de la région de Diffa. La situation des producteurs de poivron est inquiétante. Les pertes enregistrées pour la campagne 2011 – 2012, à cause des ravageurs et maladies, sont très importantes : des producteurs réalisent une seule récolte, et un grand nombre s’arrête à trois alors qu’ils devraient avoir 5 à 6 récoltes. Ces pertes semblent en augmentation et les traitements phytosanitaires peu efficaces, malgré le nombre élevé de traitements que réalisent certains producteurs. -
Rapport de mission : appréciation de la gestion participative et la bonne gouvernance au sein des banques céréalière dans le département de Filingué
L'objectif global est d'apprécier la gestion participative et la bonne gouvernance au sein de vingt (29) banques céréalière dans le département de Filingué dont 23 dans la commune rurale d'Imanan, 3 dans la commune rurale de Tondikandia et 3 dans celle de Tagazar. -
Projet de développement des exportations et des marchés agro sylvo pastoraux (PRODEX)
Ce rapport sur l'état d'avancement des activités du PRODEX intervient après la mise en vigueur du projet le 17 décembre 2009. -
Programme d'urgence pour la sécurité alimentaire
2011-2012 : bilan
La campagne agropastorale 2011-2012 a été caractérisée par une pluviométrie erratique, mal répartie dans l'espace et dans le temps avec de nombreux épisodes de sécheresse tous plus longs les uns que les autres. Il en a résulté un déficit céréalier quasi record de l'ordre de 700 000 tonnes, justifiant à posteriori les instructions de Son Excellence El Hadj ISSOUFOU MAHAMADOU, Président de la République, Chef de l'Etat, d'anticiper dès le début du mois d'août 2011, l'élaboration et la mise en œuvre pour l'exercice 201 1-2012, d'un programme d'urgence comme mesure corrective aux mauvaises récoltes attendues. -
Mise en place d'un dispositif de suivi et d'évaluation de la stratégie de développement rural
Le Niger, pays sahélien d'une superficie de 1 267 000 km2 aspire à devenir un pays émergent à travers la mise en œuvre de la Stratégie de Développement accéléré et de Réduction de la Pauvreté (SDRP) qui est le cadre fédérateur de toutes les interventions -
Contribution à l’état des connaissances de quelques plantes envahissantes au Niger
Les espèces envahissantes ont fait l’objet de plusieurs définitions. La plupart de ces définitions lient intimement l’exotisme à l’envahissement. Autrement dit, une plante envahissante est d’abord exotique. Ainsi selon Clare et al., (2000), une espèce exotique est une espèce qui est présente à l’extérieur de son aire de répartition normale. Une espèce envahissante est définie par UICN (2000) in Clare et al., (2000) comme une espèce exotique qui s’implante dans un écosystème ou un habitat naturel ou semi naturel, qui induit des changements et menace la diversité biologique endémique.
L’objectif de ce rapport est de collecter des informations relatives aux principales plantes envahissantes (évolution de la colonisation, situation actuelle, lutte, valorisation et perspectives) afin d’alimenter le site web CHM sur la Biodiversité. -
Enquête de référence sur les organisations des professionnels des filières et les membres de leurs ménages
Le Gouvernement du Niger a obtenu de l’Association Internationale pour le développement (IDA), un prêt pour le financement du Projet de Développement des exportations et des Marchés Agro- Sylvo-Pastoraux (PRODEX) afin de favoriser l’accès des producteurs ruraux aux opportunités économiques pour créer les conditions d’une croissance économique durable en milieu rural. S’inscrivant comme bien d’autres projets de développement dans la logique de la Gestion Axée sur le Résultat (GAR), le PRODEX, pour mieux mesurer l’impact des actions du projet sur les bénéficiaires, en collaboration avec l’Institut National de la Statistique (INS) a organisé du 20 août au 18 septembre 2012 une enquête nationale de référence sur les organisations des professionnelles des filières (OPF) et leurs ménages. Cette enquête a porté sur un échantillon de 499 OPF et 3992 ménages. -
Les 25 Résolutions de Konni! - Rapport de l’atelier « Éplucher l’oignon » Birni N’Konni, Niger, 30 Novembre – Décembre, 2010
Le Niger est le plus grand exportateur de l’oignon en Afrique de l’ouest. Plus de 100.000 paysans nigériens cultivent l’oignon. Pour eux et tous les autres opérateurs de la chaîne (intermédiaires, commerçants, transporteurs), l’oignon est une source importante de revenus. La SNV Niger et le Wageningen UR Centre for Development Innovation (CDI) des Pays*Bas, en collaboration avec la FCMN Niya et Agri-Bilan, ont initié une recherche action intitulée « Eplucher l’oignon » depuis 1 année. Le but des activités de recherche*action est d’identifier des possibilités d’action collective pour tous les acteurs dans la chaîne de valeur d’oignon. Le focus est sur des ‘leviers’ pour induire des changements qui rendent la filière oignon à la fois plus compétitive, inclusive et durable. Après cette phase terrain, nous avons partagé nos résultats lors de cet atelier participatif à Birni N’Konni dans la région de Tahoua. De plus on a stimulé le dialogue entre les différents acteurs autour de la chaine de valeur d’oignon pour arriver aux 25 résolutions de Konni ! Ce rapport est le résultat de cet atelier et dialogue. -
Étude sur la mise en place d’un dispositif intégré d’appui conseil pour le développement rural au Niger : Décembre 2010
Le Niger a adopté en janvier 2002 une Stratégie de Réduction de la Pauvreté (SRP) précisée pour le secteur rural par une Stratégie de Développement Rural (SDR) qui a été adoptée en novembre 2003. La SRP a été révisée en 2007 et a été rebaptisée SDRP (Stratégie de Développement accéléré et de Réduction de la Pauvreté). Au cours de cette révision, huit (8) priorités de l’action publique dans le domaine du développement rural pour la période 2007-2009 ont été dégagées, parmi lesquelles, la mise en place d’un dispositif intégré d’appui conseil pour le développement rural. En effet, le dispositif actuel d’appui conseil au développement rural au Niger, essentiellement composé par des structures étatiques dominantes du point de vue de l’occupation de l’espace et des ONG et Privés, est très peu fonctionnel du fait de plusieurs contraintes. -
La lutte contre les aléas climatiques au Burkina Faso - acquis et défis de l’agro-écologie : le cas de la Région Nord
En cette année 2012 où la communauté internationale focalise sa réflexion sur l’eau, il me semble utile de revenir de façon plus détaillée et plus quantitative sur le défi que représente la lutte contre les aléas climatiques, pluviométriques en particulier.
Je me place pour ce faire dans une approche délibérément agro-écologique, en questionnant nos connaissances sur l’optimisation de l’usage de l’eau : l’eau pour les hommes, leurs troupeaux, leurs cultures, ainsi que le couvert végétal des espaces non cultivables. C’est ce dernier domaine qui est actuellement le plus menacé par la désertification ; c’est aussi celui où on manque le plus de connaissances et où les pratiques (la gestion) laissent le plus à désirer.
Le présent texte est donc aussi un plaidoyer pour la poursuite tenace et sereine de travaux associant paysans, praticiens et chercheurs. -
Répertoire de la faune aquatique de la zone d’intervention du projet
Les ressources halieutiques du Niger sont concentrées dans le fleuve Niger et ses affluents, la Komadougou Yobé, le Lac Tchad, 970 mares naturelles et 69 retenues d’eau artificielles. Ce document présente les spécimens de la faune aquatique de la zone du projet avec leurs noms scientifiques et vernaculaires. -
Rapport sur le suivi de la dynamique des ressources naturelles au niveau de l’observatoire de Tahoua Keita dans le cadre du Projet aménagement du bassin versant de Badaguichiri
La zone d’étude est localisée dans le bassin de Badaguichiri des départements de Tahoua, Keita, Bouza et Illela de la région de Tahoua.
L’objectif de cette étude est de faire un bilan du changement de l’occupation des terres (OT) des communes du bassin versant de Badaguichiri aux deux dates de référence suivantes (1984 et 2011) dans le cadre du projet d’aménagement du bassin versant de Badaguichiri : Il faut préciser d’abord que la NOT est une classification du territoire en unités homogènes sur la base d’une nomenclature qui permet de décrire les unités paysagères. Dans ce cas, l’occupation des terres des communes est structurée en trois couches d’information en formats vectoriels.
L’objectif principal de ce bilan est de satisfaire en informations sur les ressources naturelles d’une part et de contribuer à garantir, de manière durable, la disponibilité des informations sur ces ressources. Dans ce bilan, les différentes tendances (évolutives, régressives ou stationnaires) ont été dégagées ce qui a permis de comprendre le phénomène des impacts environnementaux naturels et anthropiques. -
Rapport de mission de l’état de référence du Bassin Versant de Badaguichiri - Flore et végétation
Cette étude vise à accélérer la finalisation du document de la situation de référence de la zone d’intervention du PGBV/B à travers la collecte et l’analyse des données plus précisément, il s’agit de : collecter les données relatives au taux de recouvrement des espèces ligneuses, la biomasse, la diversité biologique (l’abondance et fréquence des herbacées) et, analyser et consolider les données collectées eu vue d’établir une situation de référence.
La zone d’étude correspond à au bassin versant de Badaguichiri apparaissant de fait comme une extension de l’observatoire de Tahoua-Keita-Tillabéri Nord. -
Etat de référence socio-économique du territoire du bassin versant de Badaguichiri
Dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet d’aménagement et de Gestion du Bassin Versant de
Badaguichiri (PGBV/B), le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale
(CNSEE) est chargé de la composante surveillance environnementale du plan d’action pour une
période de cinq (5) ans au niveau du dit projet. La zone d’intervention du PGBV/B couvre la
commune urbaine d’Illéla, la ville d’Illéla, l’ensemble de la commune de Badaguichiri, le sud des
communes de Tamaské et de Garhanga (département de Keita), le Nord-Ouest de la commune
d’Allakaye (département de Bouza), la commune rurale de Tajaé et la commune rurale de
Bagaroua.
.
Parmi les activités de cette composante figure la réalisation d’un état de référence de
l’Observatoire de Tahoua-Keita et Tillabéry, en particulier du territoire du bassin versant de
Badaguichiri rattaché à cet observatoire. Le présent document s’inscrit dans cette perspective.
Conformément aux TDR, il vise à faire une monographie du territoire du bassin versant de
Badaguichiri afin de faciliter l’organisation de la collecte et du traitement des données nécessaires
au calcul des indicateurs. -
Systèmes de production durables en zones sèches : quels enjeux pour la coopération au développement ? - Synthèse
Le rapport sur les systèmes de production durables en zones sèches a été rédigé par un bureau d’études, sur la base d’un travail collectif qui a réuni des représentants d’organisations de la société civile, d’organismes de recherche, de l’administration et des établissements publics, avec un double objectif :
• rendre visibles les contraintes, les opportunités, et le potentiel pour un développement rural et agricole durable des zones sèches ;
• faire des recommandations en direction des décideurs et des acteurs de la coopération internationale au développement pour renforcer les politiques de soutien à la durabilité des systèmes de production de ces zones.
Ce rapport s’appuie sur un ensemble d’études de cas qui valorisent des expériences concrètes de coopération au développement et permettent d’étayer des propos plus théoriques. L’objectif est de proposer des pistes d’actions pour une gestion durable des agro-écosystèmes des zones sèches et leur intégration dans des stratégies d’adaptation et d’aménagement des territoires ruraux. Le rapport permet ainsi d’avancer sur la définition des enjeux de ces zones, notamment en termes de développement d’innovations techniques, de gouvernance des ressources naturelles et foncières, de mobilisation des communautés locales, d’appui aux agricultures familiales, de valorisation des produits agricoles des zones sèches et de renforcement des politiques publiques. -
Bilan des activités
Le Niger a obtenu de la Banque Mondiale à travers le Fonds fiduciaire en réponse à la crise des prix alimentaires (FPCR) le financement du second Projet d'Urgence d'appui à la Sécurité Alimentaire (PUSA2) dans la région de Tillabéri. Ce projet vise l’atténuation des effets de la crise alimentaire et pastorale de 2009 qui a affecté les populations les plus vulnérables dans cette région. Le PUSA2 fait partie du Programme de développement d'Urgence de Sécurité Alimentaire et de développement Rural(PUSA/DR). Ce programme est né suite à l'appel des autorités Nigériennes et de la volonté de la Banque mondiale,le Fonds International de Développement Agricole (FIDA) et le Fonds OPEP pour le Développement International (FODI) de s'unir pour répondre à la crise alimentaire qui sévit au Niger. Le PUSA2 contribuera ainsi à l'objectif de développement de ce programme en concentrant ses efforts dans la région de Tillabéri. -
Bilan provisoire : Mise en œuvre du programme d'urgence des cultures irriguées
Au regard du déroulement non satisfaisant de la campagne agricole d'hivernage 2011/2012, le Gouvernement a décidé de prendre des dispositions pour mettre en oeuvre des actions d'urgences. Ceci a conduit à l'élaboration et l'adoption d'un programme d'urgence axé sur le développement des cultures irriguées, l'appui à la sécurisation des stock natioanl de sécurité. Le programme d'urgence des cultures irriguées a été adopté suite au conseil des Ministres du 24 aout 2011 et a fait l'objet d'un lancement officiel le 25 octobre 20111 à Sargane (Ouallam) région de Tillabéry. -
Des institutions rurales innovantes pour améliorer la sécurité alimentaire
La croissance démographique, l’urbanisation et l’augmentation des revenus continueront à exercer une pression sur la demande alimentaire. Les prix mondiaux de la plupart des denrées de base agricoles devraient se maintenir à leur niveau de 2010, voire augmenter, tout au moins au cours de la prochaine décennie (OCDE-FAO,2010). Les petits producteurs de nombreux pays en développement n’ont pas pu tirer parti de la hausse des prix lors de la crise causée par l’envolée des prix en 2007-2008. Pourtant, la flambée des prix aurait pu être pour eux l’occasion d’accroître leurs revenus en contribuant à améliorer la sécurité alimentaire.